Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


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INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

mercredi 12 décembre 2012

Illustres tombes dans le 92 : cimetière de Saint-Cloud.

Cimetière de Saint-Cloud BLIER Bernard (1916 – 1989) Ce grand acteur français a commencé ses études à Paris, au Lycée Condorcet. Dès 1931 il prend des cours de théâtre et commence à se produire sur scène, puis rencontre des personnalités comme Gérard Oury et Jean Gabin, avec qui il se liera d'amitié. Après le théâtre, c'est au succès qu'il trouve le succès dans des films de Henri Verneuil, Michel Audiard et Georges Lautner. En compagnie de Belmondo, Gabin, de Funès et Ventura, il tourne dans les plus grands succès du cinéma : Le cave se rebiffe, Les tontons flingueurs, Les barbouzes. Il est mort à St Cloud le 29 mars 1989. BRIGNEAU François (1919 - 2012) Fameux polémiste nationaliste, journaliste à la verve cinglante et précise, Brigneau était un excellent connaisseur des arcanes du système politique du 20è siècle et un esprit d’une grande culture. Né le 30 avril 1919 sous le nom d’Emmanuel Allot, il avait rejoint en 1937 le Parti frontiste (antifasciste) avant d’embrasser la cause de la ‘Révolution européenne’ ; engagé le 6 juin 1944 dans la Milice, affecté à la lutte contre le marché noir, Brigneau est arrêté à Paris en fin septembre 1944 et emprisonné sans aucun fondement dans une prison clandestine où il est tabassé et l’objet de simulacres d’exécutions. Puis quelques jours après il est transféré à Fresnes dans la cellule 338 au troisième étage de la prison. Il côtoya notamment Brasillach, spécialement le jour de sa mort (6 février 1945). Brigneau fut acquitté le 17 décembre 1945 et écrira A Fresnes au temps de Robert Brasillach et Henri Béraud à Fresnes dans le numéro 1 des Cahiers Henri Béraud. Après guerre, marié à la nièce de Georges Suarez (premier journaliste assassiné pendant l’Epuration), il se lance dans la littérature ; lié au courant des Hussards, il reçoit en 1954 le Grand prix de la littérature policière pour La beauté qui meurt. Puis il se lance dans le journalisme où son style pamphlétaire fait merveille : Paroles françaises, La dernière lanterne, Indépendance française, France Dimanche, Le rouge et le noir, Constellation, La Fronde, Rivarol, Ciné Monde, L’Intransigeant, L’Auto-journal, Semaine du Monde, Télé Magazine, Paris-Presse, L’Aurore, Minute, Présent, National Hebdo et Le Libre journal de la France courtoise furent les principaux journaux dans lesquels il écrivit. Créateur des Editions du Clan dans les années 1960, animateur du Comité de soutien à Tixier-Vignancour en 1965, cofondateur d’Ordre Nouveau, Brigneau fut à l’origine, le 5 octobre 1972, de la fondation du Front National pour l’unité française (futur FN), dont il fut vice-président et membre du bureau politique avant de rallier le Parti des Forces Nouvelles. Ardent opposant à la Révolution, il contribua au succès de l’Anti 89 à l’occasion du bicentenaire de celle-ci (1989). Parmi ses ouvrages il faut mentionner Mon après-guerre, Mes derniers cahiers, Faut tous les buter, Si Mussolini était conté, Brigneau en Argot, Paris.’Sous le pont des souvenirs coule la Seine’, Mon village à l’heure socialiste, Jean-Marie m’a tuer, La mort en face, Quand les armes se sont tues, Cruz : la télé et moi. Journal secret et Jules l’imposteur. François Brigneau est mort le 9 avril 2012.

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