Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


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INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

vendredi 28 septembre 2012

Illustres tombes dans les Hauts-de-Seine : Céline à Meudon

Nota: les biographies proposées ne sauraient, en aucun cas, constituer des apologies des personnes citées, de leurs actes, écrits ou opinions, elles ne visent qu'à apporter des connaissances historiques. Cimetière des Longs Réages - Meudon Val Fleury CELINE (1894 – 1961) Louis-Ferdinand Destouches, plus connu sous le nom de Céline, est l’un des plus grands pamphlétaires et écrivain non conformiste du 20è siècle. Ce médecin qui soigna une clientèle populaire à Clichy puis à Meudon repose sous une dalle ornée d’un voilier. Ses positions anticommunistes, anticonformistes et non philosémites lui valurent un exil au Danemark jusqu’en 1951. Son oeuvre comprend notamment Voyage au bout de la nuit, Mort à crédit et Bagatelles pour un massacre.

mercredi 26 septembre 2012

Cimetière de Marnes la Coquette, illustres tombes dans le 92

MAULNIER Thierry (1909 – 1988) Connu sous le nom de Jacques Talagrand, Maulnier fut un élève de l’Ecole Normale Supérieure où il eut comme condisciples, entre autres, Robert Brasillach, Maurice Bardèche et Roger Vailland. Puis il devint journaliste, collaborant à La Revue universelle et à L’Action française. Essayiste pétri d’une vaste culture classique, il participa au mouvement intellectuel des ‘non-conformistes’, incarnant au sein de la Jeune Droite une sensibilité agnostique d’inspiration nietzschéenne. Codirecteur, à partir de 1936, de la revue Combat, il créa en 1937 avec Jean-Pierre Maxence un hebdomadaire engagé, L’Insurgé, où il prétendait défendre des positions à la fois nationalistes et socialistes. Poursuivant sa collaboration à L’Action française dans les années 40, il devint journaliste au Figaro. Il se consacra après la guerre à sa carrière d’écrivain. Critique dramatique, il écrivit plusieurs pièces de théâtre et des essais. Il fut élu à l’Académie française en 1964. Avec lui repose son épouse Marcelle Tassencourt (1914-2001) : comédienne de théâtre (elle participa aux distributions de Jean Vilar), elle devint metteur en scène puis, en 1961, directrice du théâtre Montansier à Versailles.

dimanche 16 septembre 2012

Illustres tombes dans les Hauts-de-Seine : Malakoff

Cimetière de Malakoff CHRISTOPHE Eugène (1885 – 1970) Ce champion cycliste surnommé « le Vieux Gaulois » fut champion de France de 1909 à 1914 puis en 1921, et fut le premier porteur du maillot jaune en 1919 : c’était là une idée d’Henri Desgrange qui souhaitait distinguer plus facilement et honorer le leader du classement général. A deux reprises du Tour, Eugène Christophe cassa sa fourche : la première fois, en 1913, il est renversé par une voiture dans la descente du Tourmalet. Le règlement interdisant alors toute assistance en course, le coureur dut lui-même trouver une forge après une marche d’environ 15 kilomètres et réparer sa fourche : cet incident un fit un véritable héros. La seconde fois en 1922, il cassa sa fourche dans la descente du Galibier, et gagna Saint-Jean-de-Maurienne sur le vélo d’un prêtre. Il pose avec son vélo sur la photo qui orne sa tombe

vendredi 14 septembre 2012

Skrewdriver, free my land : traduction des paroles en français


Debout, je regarde mon pays aujourd’hui. C’est si facile de voir que l’on nous l’a confisqué. Tous les immigrants et tous les mensonges de la gauche. Pourquoi est-ce que personne n’en demande jamais la raison.
REFRAIN: Nous étions le pays qui avait tout. Nous étions le pays, domines Britannia (Royaume-uni) nous voudrions chanter. Nous étions le pays, et nous ne pouvions jamais perdre. Autrefois une nation, et maintenant nous sommes conduits par qui ? Nous voulons retrouver notre pays maintenant !

Il est temps que notre peuple soit debout ensemble, tous côte à côte. Il est temps que nous nous levions et que nous combattions contre les mensonges des medias. Les capitalistes et les communistes coexistent et si tu aimes ton pays, tu seras sur leur  liste. REFRAIN

Le temps presse pour ce pays. Il est temps que le peuple se lève et dresse son poing. Il est temps d’éconduire les traîtres que nous voyons. Maintenant, est venue l’heure que cette nation soit libre, libre mon pays.

jeudi 13 septembre 2012

Les mémoires de Porthos par Henry Charbonneau

Edité et réédité depuis des années par les éditions de Chiré, voici un livre fabuleux, un document de grand intérêt sur le militantisme nationaliste des années trente et sur la douloureuse période de l'occupation. Jeune militant de l'Action française à dix-huit ans en 1931, Henri Charbonneau nous relate avec beaucoup de plaisir et dans le détail ses activités de l'époque. Finalement le militantisme n'a guère changé, technologie (internet et téléphone portable) mise à part, depuis cette période ! Notons tout de même qu'à l'époque les nationalistes étaient nombreux parmi les étudiants et faisaient preuve de beaucoup d'allant. L'auteur nous décrit avec précision les évènements du 6 février 34, notamment les agitations militantes l'ayant précédé. L'aventure de la "cagoule" est également traitée en détail, puis vient quarante et la défaite. La période 40-44 est très complexe et nous ne pouvons juger les engagements des uns et des autres. Henry Charbonneau, pour diffèrentes raisons, se retrouvera dans le camp de la collaboration, alors que d'autres militants d'Action française ayant participé au 6 février 34, se retrouveront dans la résistance tel Pierre de Bénouville. Parmi les premiers résistants authentiques l'on trouve, en effet, de nombreux militants nationalistes, chose soigneusement cachée en général... Bonne lecture !

mercredi 12 septembre 2012

Illustres tombes dans le 92-cimetière de l'ordre des sulpiciens

Cimetière de l’ordre des sulpiciens – Issy les Moulineaux EMERY Jacques-André, Abbé (1732 – 1811) Né en 1732, entré au séminaire de St Sulpice en 1750, Emery fit des études de théologie à la Sorbonne avant de devenir prêtre en 1756 et membre de l’ordre sulpicien en 1758. Élu neuvième supérieur général de l'ordre de Saint-Sulpice en 1782, il réforme le grand séminaire parisien dont les exigences spirituelles s'étaient imprégnées d'un caractère mondain sous l'effet de son recrutement nobiliaire. Son attitude conciliante et modérée pendant la Révolution ne lui épargnent ni la dissolution de l'ordre de Saint-Sulpice ni la fermeture du séminaire de Paris en 1792, ni d'être incarcéré à deux reprises. La plus longue de ces détentions l'enferme durant seize mois à la Conciergerie lors de la Terreur, sous la menace permanente de la guillotine. A l’occasion de son emprisonnement à la Conciergerie, il favorisera le retour de Mgr Gobel dans le giron de l’Eglise. Nommé secrètement grand vicaire par l’archevêque de Paris Mgr de Juigné -parti en émigration- Emery anime clandestinement l'église réfractaire à Paris de concert avec Mgr de La Tour-Landry. Puis il passera le restant de sa vie à tenter de restaurer l’ordre sulpicien. Son autorité pédagogique lui vaut d'être nommé conseiller de l'Université en 1808 et son aura morale le fait désigner comme membre de la Commission ecclésiastique de l'Église de France en 1809. Il y manifeste sa loyauté envers le pape Pie VII dans la confrontation qui oppose ce dernier à Napoléon. Furieux de cette marque d'insoumission, qui devient publique lorsque le Sulpicien refuse de signer deux propositions de la Commission ecclésiastique concernant le Concordat, publiées en avril 1810 dans le Moniteur Universel, l'Empereur enjoint au vieux supérieur de quitter ses fonctions au séminaire au mois de juin suivant. Resté à Paris, Émery tombe malade quelque temps après. Il est mort à Paris le 28 avril 1811 et inhumé dans la maison de campagne de son ordre à Issy-les-Moulineaux.

lundi 10 septembre 2012

Communiqué de l' AGRIF

Agression à Castres contre nos parachutistes aux cris de « sales français » : l’AGRIF porte plainte. Dans ma ville de Castres, une fois de plus, des groupes qualifiés de « jeunes », qui ne sont heureusement nullement représentatifs de l'ensemble des jeunes de toutes origines de cette ville, ont sciemment attaqué des parachutistes du 8° RPIMA fréquentant tranquillement le Bar des Arcades sur la place Jean Jaurès. Un jeune soldat violemment frappé avec un tesson de bouteille a ainsi perdu un œil, chez nous, où il aurait dû être en sécurité, pas à Kaboul ! L'agression fut délibérément « raciste » au sens bien sûr de la loi antiraciste, c'est-à-dire en haine de l'appartenance à la nation française, en haine de ceux qui, de toutes couleurs, défendent notre patrie. Hélas, chez bien des jeunes « travaillés » par un islamisme de plus en plus violent, le massacreur ignoble de soldats et d'enfants juifs, Mohamed Merah fait figure de héros. L'AGRIF bien sûr, comme c'est son devoir, se porte partie civile dans cette affaire dont s'occupera Maître Pierre-Marie Bonneau du Barreau de Toulouse. Conformément à la Loi Informatique et Libertés n°78-27 du 06/01/1978 modifiée par la loi n°2004-801 du 06/08/04, vous disposez d'un droit d'accès et de rectification de ces données ainsi que d’un droit de vous opposer à ce que ces données fassent l'objet d'un traitement en nous contactant par courrier à l’adresse suivante : L'Agrif - 70 boulevard Saint-Germain - 75005 Paris

jeudi 6 septembre 2012

Merci au blog Konigsberg d'avoir diffusé nos vidéos

Merci à Konigsberg, un blog que nous vous encourageons à découvrir  http://konigsberg.centerblog.net/1666-le-renouveau-francais-yvelines-goldofaf

Merci à Synthèse nationale

MERCI à Synthèse nationale d'avoir présenté notre "teaser" http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2012/09/05/bientot-le-reportage-sur-le-camp-d-ete-du-renouveau-francais.html

Illustres tombes dans les Hauts-de-Seine- Garches


Cimetière de Garches

 


 

BAZIN Commandant (1917 – 1962)


Paul Bazin, né le 3 septembre 1917 en Seine et Marne, entre à St Cyr en septembre 1939, promotion ‘La plus grande France’. Affecté en 1939 comme sous-lieutenant dans l'aviation, puis en 1941 comme lieutenant en Tunisie à la base d'El Aouina, Bazin se retrouve en 1943 au Maroc chez les Tirailleurs. En 1944, il fait campagne en Italie et est décoré après la bataille de Garigliano et Girofano.

Dès le début de la guerre d’Algérie, le commandant Bazin est nommé Commandant de l’Etat-major Tactique 1, bataillon stationné dans un poste du Sud-est Orléanais au lieu-dit Pont du Caïd, une région proche des monts de l'Ouarsenis. Ce poste était issu du camp Colonel Jeanpierre basé à Zéralda ; Paul Bazin avait pour mission de s'installer dans la région pour ensuite contrôler la route de Tiaret.

Bazin, profondément attaché à cette terre d'Algérie, constatera l’abandon progressif des musulmans d’Algérie, la traîtrise gaulliste, la lâcheté de nombreux cadres militaires. Lui, fidèle à l’honneur et au respect de la parole donnée, accomplira son engagement jusqu’au bout.

Le Général Edmond Jouhaud, dans son livre Ce que je n'ai pas dit, écrit : « Le commandant Bazin, conscient de la gravité de la situation, désire vérifier si l'on peut toujours tenir pour valables les assurances qui lui ont été données. Comme à l'ordinaire, lorsque les intentions doivent se transformer en actes, l'enthousiasme, pour s'engager sous la bannière de l’Algérie Française, va en décroissant au fur et à mesure qu'ils sont interrogés, après les sous-lieutenants pleins d'ardeur, les cadres supérieurs devenus subitement réservés. (…) Le commandant Bazin est désespéré, il reste quant à lui, lié par la parole qu'il a donné au Général Salan. Il sauvera l'honneur en rejoignant seul le maquis de l'Ouarsenis en formation ».

Il s’agit du maquis Albert, commandé par le lieutenant Giorgio Muzzati -alias Albert 311, qui crapahutait depuis plusieurs mois dans le secteur de l’Ouarsenis. La nuit du 9 avril 1962, soit après le ‘cessez-le-feu’ du 19 mars, une quarantaine d'hommes du lieutenant Muzzati sont engagés dans un accrochage avec une Kathiba du FLN fortement armée. Au milieu d’eux, le Commandant Bazin est grièvement blessé ; il se serait suicidé pour ne pas tomber vivant aux mains des rebelles FLN.

Le Général Jouhaud, lui rendit un dernier hommage par cette phrase émouvante : « Il regardait comme la pire des impiétés de préférer l'existence à l'honneur ».

dimanche 2 septembre 2012

Rentrée militante pour les nationalistes des Yvelines-Rf 78

Les militants nationalistes des Yvelines du Renouveau français 78 ont repris leurs actions de présence sur le terrain. Il est plus que nécessaire de montrer à notre peuple que des français refusent la soi-disant fatalité, et bien loin de se résigner passent à la contre-offensive ! Pour nous rejoindre contactez-nous par courriel à rfyvelines@yahoo.fr

samedi 1 septembre 2012

Illustres tombes dans le 92 : Arletty

Nouveau cimetière de Courbevoie ARLETTY (1898 – 1992) Comédienne fameuse, proche de Céline, Arletty fut une artiste douée et anticonformiste. Née Léonie Bathiat à Courbevoie le 15 mai 1898, elle est secrétaire, mannequin, girl de revue puis commence en 1920 à chanter dans les beuglants, les cafés et au music-hall. Elle pastiche les airs à la mode, chante dans diverses revues, se crée un «style» - celui de la parisienne sans gêne, à l'accent des faubourgs. Par l’intermédiaire d’une relation (un banquier de Garches de confession israélite, Jacques-Georges Lévy), elle passe en 1920 au théâtre où, sans nécessairement jouer continuellement son personnage, elle marque tout ce qu'elle touche. Dès 1928 elle rencontre Jean-Pierre Dubost, qui restera son fidèle compagnon. Finalement le cinéma la réclame. En 1930, elle débute devant les caméras dans La douceur d'aimer de René Hervil et ne tarde pas connaître la gloire. Elle donnera des prestations inoubliables dans, notamment, quatre films de Marcel Carné : Hôtel du Nord (1938), Le jour se lève (1939), Les visiteurs du soir (1942) et Les enfants du Paradis (1945). C’est sous l'Occupation qu’elle a l'occasion d'interpréter ses plus beaux rôles : Madame sans gêne, de Roger Richebé, et surtout Dominique des Visiteurs du soir, ou Garance des Enfants du paradis de Marcel Carné. Le scénario est signé Jacques Prévert. Au théâtre des Bouffes Parisiens, elle est Isabelle dans Voulez-vous jouer avec moa, une comédie de Marcel Achard, avec Pierre Brasseur. Après la guerre, ses rapports amoureux fièrement assumés avec un officier allemand lui vaudront 120 jours de prison et deux ans de garde-à-vue ! Elle remonte sur les planches en 1947, continue de tourner mais si la magie est encore là, le public, lui, est passé à autre chose. Fin des années cinquante, début des années soixante, Arletty est victime d'un accident visuel : elle ne voit plus. Arletty tourne son dernier film en 1962, Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier où elle a Fernandel pour partenaire, et abandonne la scène en 1966 alors qu'elle joue Les Monstres sacrés de Cocteau. Elle se retire en 1962, prêtant sa voix à un ou deux documentaires puis devient recluse sauf pour les hommages qu'on rend à ses amis d'antan. Elle meurt à Paris âgée de 94 ans, entourée de ses souvenirs, le 24 juillet 1992, non sans avoir écrit ses Mémoires et donné de multiples interviews. Le cortège funèbre qui transporta sa dépouille ne manqua pas de s'arrêter symboliquement, en route vers le cimetière, devant l'Hôtel du Nord, un fait remarquable en soi, le tournage de l'Hôtel du Nord ayant été fait entièrement au studio de Joinville-le-Pont, en banlieue de Paris. Il existe un enregistrement par Arletty de passages de Mort à Crédit de Louis-Ferdinand Céline. « Gaulliste, ? Non, gauloise … », ainsi se définissait Arletty.