Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


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INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

dimanche 19 août 2012

Illustres tombes dans les Hauts-de-Seine : Châtillon

Cimetière de Châtillon COLL Fernand, Lieutenant-colonel ( ? – 2006) Le Lt-Colonel (ER) Fernand Coll, né à Oran, de l'Artillerie de Marine, Officier dans l'Ordre de la Légion d'Honneur, Croix de guerre 39-45, Croix de guerre TOE avec palmes (4 citations dont 2 à l’ordre de l’Armée) est décédé le 16 juin 2006 à l’âge de 89 ans. Il était le père de Jean-Michel Coll, fondateur des Laboratoires Quinton International, et de Bernard Coll, secrétaire général de Jeune Pied-Noir. Incorporé en 1938 au 2è Régiment d’Artillerie Coloniale, il vécut, comme beaucoup de ses compatriotes d'Afrique du Nord, 7 ans et demi de guerre au service de la France. Elève aspirant à l’Ecole militaire de Cherchell - promotion « Victoire de Tunisie » - en 1943, lieutenant en 1947, il fait partie des troupes de pacification à Madagascar et rallie plus de 4500 malgaches en mettant en œuvre la méthode Galliéni-Lyautey. Se sera sa première citation à l’ordre de l’Armée. De 1952 à 1954, il sert en Indochine dans l’Artillerie coloniale. Puis en 1955 en France, en 1957 en AOF et en 1960 en Algérie à la Direction de l’Etat-major interarmées d’Alger, il est chargé d’assurer le soutien logistique des Centres d’expérimentations nucléaires sous les ordres du Général d’Armée aérienne Jean Thiry. Fin 1961, expulsé d’Algérie il est affecté en Allemagne au 8e RAMA. En 1963, il rejoint la DIRCEN, puis quitte l’Armée en 1965 pour entamer une deuxième carrière à la Direction des Applications militaires du C.E.A, effectuant de nombreuses missions et séjours en Polynésie française, jusqu’à sa retraite en juin 1980. Elu premier maire-adjoint de Châtillon en 1983, il occupe cette fonction jusqu’en 1995 tout en menant parallèlement, comme président, la section de Paris des Amis de la Polynésie française et celle du Cercle Algérianiste de Châtillon, et comme vice-président, celles de la Légion d’Honneur 92 et de l’UNC 92. Membre de Jeune Pied-Noir, il était jumelé à une famille de Harkis de Châtillon. Considéré par ses Chefs comme un élément d'élite, complètement désintéressé, d'humeur égale et très agréable, il connaissait parfaitement, par expérience, la psychologie humaine. Diplomate né, toujours prêt à affronter tous les problèmes quels qu'ils soient, il savait les résoudre dans le sens de l'intérêt général et du bien des personnes concernées. Depuis plusieurs années il se savait atteint du mal qui l'a emporté. C’est avec la même force de caractère qu’il a surmonté ses souffrances sans jamais se plaindre. La cérémonie religieuse a été célébrée le jeudi 22 juin 2006 en l'Eglise Notre-Dame du Calvaire suivie de l'inhumation dans la sépulture de famille du cimetière communal de Châtillon.

vendredi 17 août 2012

Illustres tombes dans les Hauts-de-Seine, cimetière de Bagneux ( suite ).

NOTA: Les notices biographiques que nous publions ne sauraient, en aucun cas, constituer des apologies des opinions, écrits ou actes des personnes citées, et n'ont d'autres buts que d'éclairer l'histoire, souvent douloureuse, de notre pays COSTON Henry (1910 – 2001) Henri Georges Coston, dit Henry Coston, né à Paris le 20 décembre 1910 et mort le 26 juillet 2001, était un journaliste, éditeur, publiciste et militant nationaliste spécialiste de la vie politique française et des groupes d’influence. Après avoir travaillé dans sa jeunesse au journal monarchiste de Toulouse L'Express du Midi tout en animant celui de l'Action française à Villeneuve-sur-Lot, en 1928 Coston fonde La Contre-Révolution, revue opposée aux sociétés secrètes. En 1930 il crée le journal La nouvelle France et les Jeunesses anti-juives, puis en 1931 le journal La Révolte ouvrière bientôt nommé France ouvrière et qui disparaît en 1933. Avec Jacques Ploncard d'Assac entre autres il fonde en 1930 le Parti national populaire, puis soutient le Francisme de Marcel Bucard en 1933 avant de participer à la création du Front national ouvrier paysan, également appelé « Les Francistes » et dissous en 1934. Par la suite, il fut membre du Parti populaire français où il était chargé du renseignement. En 1931 également, La Défense du Brunoy ; Henry Coston fut le directeur de la rédaction en 1931 en même temps qu'il était devenu directeur des Éditions Nationales. Coston devient en 1934 et 1935 le directeur du journal satirique nationaliste Le Porc Epic ; se réclamant de Drumont, il relance La Libre parole (finalement interdit en avril 1939). Coston part en Algérie pour tenter de se faire élire – sous l'étiquette « candidat antijuif d'Union latine » – député d'Alger à l'occasion des législatives de 1936 mais est battu. Il revient en France où il crée plusieurs petites maisons d'édition contre les groupes dominants et publie quelques romans policiers. En 1941 Coston est secrétaire de rédaction du quotidien La France au travail. Chargé par le Maréchal Pétain de travailler sur la franc-maçonnerie avec Bernard Faÿ, il fonde en 1941 le Centre d'action et de documentation, le Bulletin d'information anti-maçonnique puis le Bulletin d'information sur la question juive. En 1943 Coston est décoré de l'ordre de la francisque. Arrêté en 1946, il est poursuivi en 1947 pour faits de collaboration puis condamné en 1948 aux travaux forcés à perpétuité. Il bénéficie en 1951 d'une grâce médicale puis est gracié en 1955. En 1957 Coston fonde la revue Lectures françaises et écrit également dans Jeune Nation, Défense de l'Occident, Carrefour, L'Écho de la presse et de la publicité, Europe-Action puis, plus tard, dans Présent et National-Hebdo. Directeur littéraire de la Librairie française fondée en 1952 par sa femme Gilberte Coston, qui la vendit à Malliarakis en 1957, Coston est l'auteur de nombreux ouvrages sur les groupes dominants, dont le fameux Dictionnaire de la politique française et Les financiers qui mènent le monde en plusieurs tomes. Cet auteur aux multiples pseudonymes — dont « Georges Virebeau », « Saint-Pastour » ou l'« Archiviste Jérôme » — meurt alors qu’il commençait ses mémoires et lançait une nouvelle publication, Nous les Françaises. JACQUELIN Edmond (1875-1928) Né le 30 septembre 1875 et mort à Paris le 29 juin 1928, Jacquelin fut un coureur cycliste célèbre. Il remporta le Championnat de France 1896 de vitesse. En 1900, il rafla le Grand Prix de Paris sur piste, le Championnat de France puis le Championnat du monde. Le tout Paris s’enthousiasma pour ses exploits et son prestige fut considérable au début du XXe siècle (il fut, entre 1895 et 1910, l’un des sportifs les plus célèbres). LEDUCQ André (1904-1980) Né le 27 février 1904 à St Ouen et mort le 18 juin 1980, Leducq fut l’un des champions cyclistes les plus populaires de l’entre-deux guerres, surnommé « le Joyeux Dédé », ou « Dédé Gueule d'Amour et Muscles d'Acier. Champion du monde et champion de France, il remporta de nombreuses courses, dont les Tours de France 1930 et 1932, Paris-Roubaix en 1928 et Paris-Tours en 1931. Il mourut d’un accident de plongée sous-marine. Il est représenté sur son vélo sur sa stèle. MADON Georges (1892 – 1924) Georges Félix Madon, né le 28 juillet 1892, était un pilote de chasse de la première Guerre mondiale titulaire de 41 victoires homologuées, de 64 autres probables et, fait exceptionnellement rare en quatre ans d'affrontements, tout comme cet autre as français qu'est René Fonck il ne reçut jamais aucune balle dans son appareil. Engagé dans le 1er régiment du génie de Versailles, dans lequel il fut affecté aux cuisines, il insista pour avoir le droit de suivre une formation de pilote et obtint son brevet de pilote civil à l'âge de 19 ans, à Étampes. Le 12 mars 1912, Madon s'engageait dans l'armée ; bien que caporal, il est très expérimenté et est choisi pour effectuer les premières missions de nuit. Auréolé de ses nombreuses victoires et de son audace, il est nommé en 1918 commandant de l'Escadrille Spa38, dont la devise est « Qui s’y frotte s’y pique ». Il se tua à Bizerte le 11 novembre 1924 lors d’une démonstration en hommage à Roland-Garros, écrasant volontairement son avion (en panne sèche) sur le toit d’un immeuble afin d’éviter la foule. RAYNAL Sylvain Eugène (1867 – 1939) Sylvain Eugène Raynal naît le 3 mars 1867 dans une famille protestante bordelaise d'artisans au patriotisme profond. Après l'école de Saint-Maixent il découvre l'Algérie au sein du 7e régiment de tirailleurs de Constantine, puis la 1è guerre mondiale et des blessures successives : à la tête du 142e régiment d'infanterie du 96e R.I, le commandant Raynal défend le fort de Vaux jusqu’au bout du possible, entre le 2 et le 7 juin, avant de devoir se rendre avec ses hommes. Prisonnier de guerre du 11 juin 1916 au 4 novembre 1918, Raynal se retire après guerre au 36 de la rue Denfert-Rochereau à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) où il séjournera jusqu'à sa mort le 13 janvier 1939. Une plaque y a été apposée en 1966 à l'occasion du cinquantenaire de la Bataille de Verdun. TRUELLE Auguste (1849-1928) Agronome et vulgarisateur scientifique français, il soutint une thèse sur la cidrerie qui lui valut la grande médaille d’or des thèses. Il s’établit alors à Trouville et y continua ses recherches sur le sujet. Ces travaux lui valurent d’être élu membre de l’Académie d’Agriculture. Son épitaphe le déclare « pomologue », c’est-à-dire…spécialiste des pommes. Il a écrit de nombreux ouvrages sur les fruits et le cidre.

mardi 14 août 2012

Skrewdriver - I don't like you, traduction des paroles en français

Un petit plaisir avec la traduction en français des paroles d'une chanson phare du fameux groupe anglais de punk-OÏ Skrewdriver. 1-2-3-4 Je ne t'aime pas ! Sortir le matin pour aller au boulot. Le temps traine en longueur vraiment lentement. Malade et fatigué de bosser. Le patron en a toujours après moi. Je suis malade de ce travail routinier. Le classement me rend dingue. Quand je fais une chose, le patron me dit de le refaire. Alors je dis... Je ne t'apprécie pas, je ne t'apprécie pas, je ne t'apprécie plus du tout 1-2-3-4-5-6-7-8 ! C'est l'heure de sortir du boulot maintenant. De balancer un coup de pied en plein dans la tête du patron. Tout le monde me donne des ordres, essayant de me faire voir rouge. Je prie pour m'en échapper vers la liberté maintenant. Jouant dans un groupe de rock'n'roll. Jouant cette musique rock'n'roll qui fera probablement de nous des bannis. Je ne t'apprécie pas, je ne t'apprécie pas, je ne t'apprécie plus du tout !

samedi 11 août 2012

Illustres tombes dans le département des Hauts-de-Seine

Cimetière de Bagneux BURELLO Pierre (1894 – 1938) As de l’aviation pendant la 1è guerre mondiale, Burello mourut prématurément dans un accident d’hydravion. EBSTEIN-LANGEVIN Jean (1921-1998). L’avocat royaliste strasbourgeois Jean Ebstein-Langevin était sympathisant d’Action française, militant avant-guerre à l'Alliance royaliste d'Alsace (après la dissolution de l’AF) ; co-président de la Corpo de droit, il organisa avec André Pertuzio, président de la Corpo de droit, la manifestation des étudiants de Paris du 11novembre 1940 à la place de l’Etoile. COSTON Gilberte (1911 – 2002) Gilberte Coston, née Borie, était une journaliste et une éditrice française. Elle animait un Club national des lecteurs et dirigeait avec son mari le journaliste et écrivain Henry Coston la Librairie française (ouverte en 1952). Durant les années 1950 elle fonde et dirige le mensuel Club inter-presse dont le premier numéro fut lancé en 1951. En 1955 elle lance à Paris la revue Presse et littérature dont elle était directeur-gérant. Le 9 mars 1957, Henry Coston lance le premier numéro de la revue Lectures françaises au Club national des lecteurs de son épouse. En 1975 Gilberte Coston vend la Librairie française à Jean-Gilles Malliarakis. Comme son mari, elle fut proche de Jacques Ploncard d'Assac, Paul Rassinier, Michel de Mauny, Pierre-Antoine Cousteau, Georges Ollivier et les différentes personnalités gravitant autour de la Librairie française et des revues dirigées par Coston. Morte le 21 mai 2002, Gilberte Coston a écrit avec son mari : L'A.B.C. du journalisme. Cours élémentaire en 30 leçons (1952), Tu seras journaliste ! La presse d'aujourd'hui, les règles générales du journalisme, la composition, le style, le sujet, la revue de la presse, Le Journalisme en trente leçons. Elle a aussi contribué au Dictionnaire de la politique française d’Henry Coston.

jeudi 9 août 2012

LE FRANCILIEN LIBRE : un blog très intéressant

http://le-francilien-libre.over-blog.com/ C'est avec grand plaisir, que nous vous présentons le blog LE FRANCILIEN LIBRE ce jour et que nous l'ajoutons à nos liens. Nous avons été contactés par son blogmaster qui nous a très gentiment proposé de diffuser nos communiqués, ainsi avons-nous pu découvrir ce blog très intéressant. Mis à jour quotidiennement, riche en vidéos, ce blog tranche clairement avec ce que l'on a l'habitude de voir, traitant de sujets souvent délaissés ( bien à tort ) tels que l'écologie ( la vraie ) ou des questions de société passés sous silence, mais aussi de l' humour et beaucoup d'autres choses encore. Il est impératif que tous ceux qui combattent l'abrutissement des masses, l'assujettissement des peuples au mondialisme, la léthargie et la servilité se soutiennent mutuellement. Dans notre département, le Renouveau français section des Yvelines, loin de tout sectarisme, accueille régulièrement lors de ses séances de formation des nationalistes de tous horizons ( certains étant d'ailleurs adhérents d'organisations politiques ou culturelles amies ). Dans le même esprit d'union, des nationalistes autonomes participent aux activités militantes du Renouveau français Yvelines.

mercredi 8 août 2012

Université d'été nationaliste 2012 du Rf, il est encore possible de s'inscrire !

Il est encore temps de s'incrire au camp d'été Rf 2012 pour un séjour inoubliable ! Si vous ne disposez que du week-end du 25 et 26 août, vous avez la possibilité de vous inscrire pour ces deux jours seulement à tarif réduit . BULLETIN D'INSCRIPTION http://www.renouveau-francais.com/doc/formulaireUDT2012.pdf

jeudi 2 août 2012

La nostalgie avec Jean-Pax Mefret

La musique et les chansons de rock ont intégré l'univers des jeunes générations depuis les années soixantes. La chanson étant un formidable vecteur d'influencement, la droite de conviction ne pouvait passer à côté de cela. Si nous connaissons maintenant le rap nationaliste avec Goldofaf et précédemment avec Basic celtos, si nous connaissons le R.I.F. ( rock identitaire français ) avec une multitude de groupes, si nous connaissons le R.A.C. ( rock against communism - rock anti communiste ) avec des groupes sérieux mais aussi d'autres plutôt provocateurs, nous souvenons-nous de Jean-Pax Mefret ? Alors retour dans les années quatre-vingts avec un précurseur de la musique politique. Pied-noir et tout jeune prisonnier politique en 1962 pour ses activités pro-algérie française. Jean-Pax devint journaliste et écrivain mais également chanteur engagé. Il se surnomma "le chanteur de l'occident" car ses chansons sont le reflet des longues décennies du rideau de fer et de l' affrontement idéologiques entre les blocs de l'est et de l'ouest. Anti-communiste affirmé, ses chansons sont maintenant obsolètes ( car l'ennemi n'est plus vraiment le communisme mais le mondialisme ) mais restent toujours aussi belles et certaines continuent de remuer les tripes trente ans après. Jean-Pax, en son temps, subit lui aussi un black-out total de la part des médias, pourtant ses chansons se diffusèrent par le bouche à l'oreille ( et par des cassettes audios piratés ) pour finir par obtenir une grande audience dans de nombreux milieux ( militants politiques de la droite "dure" à la droite nationale, militaires, anciens combattants ... ). Il se produisit sur scènes à quelques occasions, notamment lors des premières fêtes des B.B.R. ( BLEU BLANC ROUGE ) de l'ancien FRONT NATIONAL au début des années quatre-vingts. Alors de Berlin-est à Kolwezi, un peu de nostalgie avec Jean-Pax Mefret qui soutint, par ses chansons, nos premiers pas de militants nationaux.