Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


spot 78

INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

mercredi 27 juin 2012

Après-midi de sport formation du 27 juin

Encore un excellent moment passé entre nous! Nous avons couru puis écouté un topo de formation sur le 6 Février 34.
Ensuite vint une séance de boxe et enfin le pot de l'amitié qui fut un moment de libre discussion et un moyen de faire connaissance avec les nouveaux sympathisants venus se joindre à nous ce jour. Une prochaine séance aura lieu en Juillet !

mardi 26 juin 2012

Autocollants nationalistes disponibles auprès du Rf 78

L'autocollant "le métissage généralisé détruit la diversité" est désormais disponible auprès de la section RF 78 au prix de 3 euros le paquet de cent . contact rfyvelines@yahoo.fr Attention disponibles en quantités limitées ! Nous rappelons que l'autocollant "notre identité nationale est d'abord notre sang" reste également disponible.

vendredi 22 juin 2012

ILLUSTRES TOMBES DES YVELINES

Cimetière St Louis - Versailles THARAUD Jean (né Charles Tharaud, 1877 – 1952) Il est l’auteur, avec son frère Jérôme, d’une oeuvre à quatre mains. Collaborateurs de Barrès et Péguy, lauréats tous les deux du Goncourt en 1906 pour Dingley, l’illustre écrivain, ils furent tous deux élus à l’Académie française. Il est mort le 8 avril 1952 à Paris. Cimetière du Vésinet CARETTE Julien (1897 - 1966) De son vrai nom Victor Jullien, né à Paris le 23 décembre 1897 et mort à St Germain en Laye le 20 juillet 1966, il est un fameux acteur français à l'accent parisien et à la personnalité reconnaissables entre tous. Après le théâtre parisien puis le cinéma muet, Julien Carrete évolue au cinéma dès 1931 : on le voit dans La Grande Illusion, La bête humaine et La Régle du jeu. Comédien fétiche de Claude Autant-Lara qu'il connut dans les années 1920, il tourne dès 1942 dans Lettres d'amour et Occupes-toi d'Amélie, puis L'auberge rouge en 1951. Dans sa longue carrière (plus de cent films) il fut associé aux réalisateurs Autant-Lara, Sacha Guitry, Henri Decoin, Marcel Carné, Henri Verneuil.

jeudi 21 juin 2012

Autocollants " Le métissage généralisé détruit la diversité" de nouveau disponible

Le fameux autocollant du Renouveau français est à nouveau disponible, vous avez la possiblité de le commander sur le site de patriote productions http://www.patrioteproductions.com/ et ainsi de faire, par la même occasion, vos emplettes de tee-shirts ou de disques ! "Ce nouvel autocollant a pour vocation de faire réfléchir nos concitoyens avec un slogan de bon sens, irréfutable. Les nationalistes sont les véritables défenseurs de la diversité humaine. Pour préserver celle-ci, il n’est en effet d’autre choix que de lutter contre l’immigration massive et le métissage que promeuvent de tout leur poids médias, publicitaires et politiciens, avec malheureusement un certain succès, surtout dans les grandes villes."

mardi 19 juin 2012

CAMP d'été, changement de date désormais 23 au 26 août

Illustres tombes: Versailles

Cimetière de Notre-Dame - Versailles BIZOT Maurice (1896 – 1925) Il fut un as de l’aviation durant la Première Guerre Mondiale. CHIAPPE Jean-François (1931 – 2001) Neveu du préfet de police Jean Chiappe, monarchiste et catholique proche de l’extrême droite française, ce producteur de télévision et de radio (qui se consacra à des émissions ayant pour thème l’histoire) fut l’auteur de plusieurs ouvrages. Conformément à ses opinions monarchistes, une fleur de lys s’inscrit sur sa tombe. Jean-François Chiappe est né le 30 novembre 1931. Son père Angelo Chiappe était préfet et son oncle Jean Chiappe Préfet de Police de Paris de 1927 à 1934, limogé après le 6 février 1934 pour suspicion de sympathie avec les nationalistes. Jean-François épouse Marina Grey, fille du général russe Anton Denikine. En 1954, après son baccalauréat, il entre chez L’Oréal, comme adjoint au directeur de publicité. Dès 1957, il devient co-auteur et co-producteur de programmes pour la télévision. Il collabore ainsi aux émissions Télé-Match, La roue tourne et La Tête et les jambes. À la radio, il participe à La tribune de l'Histoire, créée en 1951 par André Castelot et Alain Decaux. À partir de 1963 et jusqu’en 1997, il est co-producteur de cette émission. Il signe lui-même quelques dramatiques pour France Inter et participe également aux émissions L’histoire en question et Questions pour l’histoire. Jean-François Chiappe a écrit de très nombreux ouvrages d'histoire. En 1957, il collabore avec Jean Ferré à la revue C’est-à-dire. Cette revue se veut ouverte à « toutes les droites ». Il s’y occupe du service de politique intérieure. En 1958, Jean-François Chiappe, monarchiste, collabore à la revue Rivarol. Il fut aussi le président de l’Association des amis de Rivarol. En 1974, il entre au Comité central du Front National, dont il est un temps Vice-Président. En 1988, il soutient la candidature de Jean-Marie Le Pen à l’élection présidentielle. Il fut aussi le vice-président de l’Association professionnelle de la presse monarchique et catholique. Jean-François Chiappe a reçu le Grand Prix Gobert de l’Académie française en 1983. Il a été lauréat du Prix Hugues Capet en 1996 pour son ouvrage Louis XV. Jean-François Chiappe est mort le 21 octobre 2001.

lundi 18 juin 2012

Albums CDs de Skrewdriver, Brutal Attack, condemned 84 en vente en France chez patriotes productions

Toute la musique que l'on aime est disponible chez patriotes productions ainsi que biens d'autres articles ! http://www.patrioteproductions.com/

vendredi 15 juin 2012

Illustres tombes dans les Yvelines: Blériot, Degueldre, Deloncle

Cimetière des Gonnards - Versailles BLERIOT Louis (1872 – 1936) Ce pionnier de l’aviation est essentiellement connu pour avoir le premier, en 1909, traversé la Manche en 37 minutes. Il fut également un ingénieur qui se lança dans la construction d’avions (en particulier durant la Première Guerre mondiale), puis de motos après l’armistice. DEGUELDRE Roger (1925 – 1962) Ce légionnaire, ancien des maquis Francs Tireurs Partisans pendant la deuxième guerre mondiale, quitta l’armée en 1961 par opposition avec la politique gaulliste d’abandon de l’Algérie française. Roger Degueldre participa au putsch des Généraux en avril 1961 puis s’illustra en dirigeant le Commando Delta 1. Condamné le 28 juin 1962 pour rebellion et participation à l’affaire Gavoury, il est fusillé le 6 juillet 1962 au fort d’Ivry. DELONCLE Eugène (1890 – 1944) Après avoir combattu sur le Front durant la Première Guerre mondiale, Eugène Deloncle adhéra à l’Action française avant de fonder, en 1935, le comité secret d’action révolutionnaire (CSAR), mouvement antirépublicain d’inspiration fasciste très vite appelé la Cagoule par la presse. Après l’armistice de 1940, il fonda le Mouvement Social Révolutionnaire (MSR) soutenant Pétain, puis il se rapprocha de Déat. Il fut assassiné en 1944 par la Gestapo en raison de ses relations avec les membres de l’Abwehr concurrente. Deloncle, figure centrale de l’extrême droite en France dans les années 30 et 40, aura attiré autour de lui des personnalités marquantes : Darnand, Eugène Schueller et les Bettencourt du groupe L’Oréal, mais aussi les frères François et Robert Mitterrand, qui avait d’ailleurs épousé la nièce de Deloncle.

mercredi 6 juin 2012

Illustres tombes dans les Yvelines, le maréchal Joffre


Cimetière de La Chataigneraie - Louveciennes

JOFFRE Maréchal (1852 – 1931)

Le Maréchal Joffre, vainqueur de la bataille de la Marne, repose en compagnie de son épouse dans ce mausolée circulaire édifié par son gendre dans le parc de "La Châtaigneraie". La propriété qui domine la vallée de la Seine fut un havre de paix pour le maréchal qui y reçut de nombreuses personnalités politiques jusqu’à sa mort en 1931.


Cimetière de Montainville


BOURVILLE (né André Robert Raimbourg, 1917 – 1970)

Il fut un immense acteur et chanteur populaire français du 20è siècle.

Après un apprentissage de boulanger, il partit en région parisienne pour tenter une carrière musicale, qu'il commença par des radios crochets. Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse à Vincennes, dans un minuscule appartement de la rue des Laitières, au septième étage, sous les toits (il y restera jusqu’en 1947).

Il enchaîna ensuite avec des numéros de « comique-paysan » (dérivé du comique troupier), mais c'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débuta vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fit sa première apparition au cinéma, en 1945 dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville.

Sa carrière cinématographique ne faisait que commencer, et connaître l’apogée avec des réalisations comme La traversée de Paris, la série Les gendarmes,  La grande vadrouille, etc.

          Cimetière de Montfort l'Amaury

RAVEL Maurice (1875 1937)

Compositeur français au style impressionniste puis neoclassique, Maurice Ravel était entré au Conservatoire de Paris et connut ses premiers succès à la fin du 19è siècle ; sa sélébrité ira grandissant. Installé en 1921 au Belvédère, à Montfort l’Amaury dans les Yvelines, il y compsa ses dernières œuvres avant de connaître la consécration par des grandes tournées jusqu’en 1932.  Il mourut à Paris le 28 décembre 1937.




mardi 5 juin 2012

ILLUSTRES TOMBES DANS LES YVELINES, Georges BIDAULT


Cimetière de La Celle Les Bordes


BIDAULT Georges (1899 – 1983)


Augustin-Georges Bidault est né le 5 octobre 1899. Ce démocrate-chrétien, gaulliste jusqu’en 1958, ralliera ensuite la cause de l’Algérie Française.

Georges Bidault passe ses deux parties du bac à Paris en 1915 et 1916 avant de préparer une licence d’histoire et de géographie à la Sorbonne qu’il obtient au début de 1918. Mobilisé avec la classe 1899, il ne prend pas part aux combats de la fin de la guerre mais participe à l’occupation de l’Allemagne dans le Palatinat. Il revient en France pour enseigner l’histoire aux officiers-élèves de l’école de Saint-Maixent jusqu’en 1921 et retrouve définitivement la vie civile après un rappel aux armées (155ème R.I.) de quelques semaines d’occupation de la Ruhr à l’été 1921.
Georges Bidault reprend ses études d’histoire à la Sorbonne. Son attirance pour la démocratie chrétienne s’affirme et il devient vice-président de l’association catholique de la jeunesse chrétienne. A la rentrée scolaire de 1931, il est nommé professeur au lycée Louis-le-Grand où il enseignera jusqu’en 1939.
Mobilisé comme sergent en 1939, il demande à aller combattre en mai 1940. Il est fait prisonnier le 8 juin 1940 et est envoyé au Stalag IIA à Neubrandenburg. Libéré en juillet 1941 au titre de ‘la Relève’, il rejoint Paris puis Lyon. Il noue des contacts dans la résistance, devient membre du comité directeur de Combat, le mouvement fondé par Henri Frénay, et écrit des articles dans le journal clandestin Combat. Jean Moulin lui confie, en avril 1942, la responsabilité du Bureau d’Information et de propagande de la résistance.
Le 27 mai 1943, au 48 rue du Four à Paris, est créé le Conseil National de la Résistance (CNR), qui vote à l’unanimité une motion préparée par Bidault, représentant la Démocratie Chrétienne, demandant, en particulier, la création d’un gouvernement provisoire à Alger. Le 21 juin 1943, Georges Bidault est élu président du CNR. Ses fonctions l’amènent souvent à Paris où il rencontre parfois ses anciens élèves. Le 19 août 1944, il est à Paris avec Alexandre Parodi et le CNR qui donne l’ordre de mobilisation générale. Le 22 août, le CNR s’installe à l’hôtel de ville où, le 25 août, Georges Bidault accueille de Gaulle. Le 26 août, lors du défilé de la libération de Paris, il descend les Champs-Elysées aux côtés de de Gaulle.
Le 7 septembre 1944, Georges Bidault devient ministre des affaires étrangères du gouvernement provisoire. C’est le début d’une carrière ministérielle de 10 ans qui le verra occuper divers postes dans 13 gouvernements, entre 1944 et 1954. Sur la question de l’Indochine, Georges Bidault essaie sans relâche d’obtenir un soutien aérien des Américains – qu’il n’obtiendra pas -  pour desserrer l’étau autour de Dien Bien Phu. En parallèle, Georges Bidault est l’un des fondateurs du Mouvement Républicain Populaire (MRP) et en est le président de mai 1949 à mai 1952. Il est candidat à l’élection présidentielle de 1953 dont il se retire après le deuxième tour.
Ferme partisan du maintien de l’Algérie dans la République Française, Georges Bidault est l’un des membres éminents de l’Union pour le Salut et le Renouveau de l’Algérie Française (USRAF) fondée par Jacques Soustelle. Pressenti le 20 avril 1958 par le président Coty pour être président du conseil, Georges Bidault n’obtient pas le soutien du MRP ce qui marquera la rupture avec son parti.
Le 14 mai 1958, Georges Bidault écrit à de Gaulle une lettre l’adjurant d’accepter de revenir au pouvoir « pour le salut de la patrie en péril » et, le 1er juin, vote pour son investiture. Très rapidement, le doute le saisit sur les intentions de de Gaulle sur l’Algérie ; le discours de de Gaulle du 16 septembre 1959 sur l’autodétermination en Algérie le jette dans une opposition résolue à la politique algérienne du général de Gaulle : le 19 septembre, il crée le Rassemblement pour l’Algérie Française avec Roger Duchet, Pascal Arrighi et Jean-Baptiste Biaggi.
Le gouvernement Debré lui interdit de se rendre à Alger au moment de l’affaire des « barricades » en janvier 1960. Le 17 juin 1960, avec Jacques Soustelle qui a été exclu du gouvernement le 5 février précédent, il fonde le « Comité de Vincennes » qui rassemble plus de deux cents personnalités venant d’horizons politiques variés qui s’engagent à « défendre en toutes circonstances » l’intégrité du territoire national. Surveillé étroitement par la police, Georges Bidault participe à une réunion du « Comité de Vincennes », le 16 novembre 1961, réunion qui conduit à sa dissolution par le gouvernement et qui voit ainsi disparaître la seule voie légale de défense de l’Algérie Française.
En mars 1962, Georges Bidault se réfugie en Suisse. Le 20 mai 1962, à Rome, Georges Bidault, Jacques Soustelle, Antoine Argoud et Pierre Sergent créent le comité exécutif d’un nouveau « Conseil National de la Résistance » qui désigne Georges Bidault pour président. Celui-ci donne, peu après, deux articles virulents au quotidien bruxellois La Dernière Heure et voit son immunité parlementaire levée par 241 voix contre 72 et 167 abstentions sans, d’ailleurs, qu’une inculpation lui soit notifiée. Désormais, il mène une vie de clandestin entre l’Italie, l’Allemagne, la Belgique et le Portugal et l’Angleterre où il donne une interview à la BBC en janvier 1963.
Après l’enlèvement du colonel Argoud à Munich par des hommes des services spéciaux français, en février 1963, Georges Bidault est expulsé d’Allemagne vers le Portugal qui l’expulse vers le Brésil. C’est là qu’il passera plus de quatre ans, rejoint en août 1963 par son épouse Suzanne. Le 30 juillet 1967, Georges Bidault et son épouse atterrissent à Bruxelles. En novembre 1968, il est de retour en France et fonde le Mouvement Justice et Liberté (MJL). Aux élections législatives de 1973, il est candidat dans le 5ème arrondissement de Paris et n’obtient que 1203 voix contre un jeune gaulliste du nom de Jean Tibéri. En rééducation à Cambo-les-Bains après une congestion cérébrale, il meurt le 25 janvier 1983. Le 1er février, après la messe à Saint Louis des Invalides, les honneurs militaires réservés aux anciens chefs d’état sont rendus à Georges Bidault.

Georges Bidault était Compagnon de la Libération et Grand-Croix de la Légion d’Honneur.

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages.












lundi 4 juin 2012

Illustres tombes dans les Yvelines, Paul DEROULEDE


Cimetière de La Celle St Cloud





DEROULEDE Paul (1846 – 1914)


Paul Déroulède, né à Paris le 2 septembre 1846, est l’un des fondateurs du nationalisme français républicain.

Auteur des Chants du soldat en 1872, suivi des Chants du paysan, Paul Déroulède ne tarde pas à symboliser la volonté française de récupérer l’Alsace-Lorraine après la guerre perdue de 1870. Sa flamme et sa verve patriotique, non dénuées de talent artistique, s’expriment d’abord dans des poèmes avant de constituer un élan politique formidable.

Fondateur en 1882 de la Ligue des Patriotes, Déroulède enflamme le pays ; ses Chants du soldat, les devises de la Ligue des Patriotes ‘Vive la France ! … quand même’ et ‘Qui vive ? France !’, son ralliement au boulangisme, ses tentatives de coup d’état militaire en 1889 et 1899, l’épisode de Fort-Chabrol enfin, lui assurent une grande popularité et une marque indéniable dans le paysage du nationalisme populaire français.

Jusqu’au 30 janvier 1914, date de sa mort, Déroulède continue sans relâche, notamment à travers de nombreuses commémorations de batailles de la guerre de 1870 (Buzenval, Champigny) mais aussi au cours d’hommages parisiens à Jeanne d’Arc et à la statue de Strasbourg, de perpétuer un patriotisme ardent.


dimanche 3 juin 2012

Illustres tombes, mémoire d'Ile de France


ILLUSTRES TOMBES



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« C’est la mémoire qui fait toute la profondeur de l’homme ».

[Charles Péguy, Clio]

Plus que tout autre souvenir, le culte des morts est ce qui rattache l’homme à son identité, à son être, à son destin. Ce n’est pas un hasard si, comme l’explique Fustel de Coulanges dans La Cité antique, les hommes ont de tous temps rendu un pieux hommage à leurs ancêtres, et si la profanation d’une tombe apparaît comme un crime innommable.

Quand la froideur des tombes s’impose à nos yeux, ce sont de forts sentiments intérieurs qui passent en nos âmes : affliction du cœur, souvenir fidèle d’une édifiante ou honorable vie, pleine conscience du devoir accompli et à accomplir, espérance en l’au-delà.

Dans les lieux où reposent nos illustres ancêtres, églises ou cimetières, se dégage une solennité empreinte d’émotion, une fierté rassurante qui nous relie à la fois au sol et au ciel.


« Le vrai principe c’est l’éclaircissement de la conscience individuelle

par la connaissance de ses morts et de sa terre ».

[Barrès, L’appel au soldat]




Cimetière ancien de Carrières-sous-Poissy

ALGOUD François-Marie (1920 – 2012)

Né en 1920 et décédé le 5 janvier 2012, Algoud était un journaliste, essayiste et militant royaliste français.
Lycéen militant dans les Camelots du Roi pendant l'entre-deux-guerres, il effectue une préparation militaire pour entrer dans la Marine, servant à partir de 1939 à Dakar. Démobilisé en 1942, il rentre en zone occupée pour travailler dans un organisme de résistance créé par le Maréchal Pétain, le « Centre d'information interprofessionnel ». Après la guerre il travaillera dans le secteur privé tout en restant proche des milieux maurrassiens et traditionalistes.
Il reprend plus tard l'action politique en créant en 1987 le « Cercle de la Cité Vivante», mouvement très impliqué dans la lutte contre la pornographie et l'avortement, qui devient plus tard « L'Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante ».
On lui doit plusieurs études sur Charles Maurras, ainsi que des pamphlets (parfois sous le pseudonyme de Désiré Dutonnerre) mettant en garde contre le satanisme ou ce qu'il nomme la « démoncratie ». Il eut six enfants, dont l'humoriste Albert Algoud. La messe de ses obsèques fut célébrée par le Père Argouach et à la Collégiale Notre-Dame de Poissy le 10 janvier 2012. Ses œuvres sont : Guide jeunesse : 1000 mouvements, associations, organismes, centres, foyers, communautés, écoles (1989), Mille six-cents jeunes saints, jeunes témoins : de leur foi, de leur idéal, de toujours et de maintenant (1994), Culture de vie contre culture de mort ou La foi, l'Église et le bon sens (avec l'amiral Michel Berger, 1998), La peste et le choléra : Marx, Hitler et leurs héritiers (1999), Lettre aux catholiques français : il faut reconstruire le temple de Dieu (2000), France, notre seule patrie : mises au point (2001), Histoire et Actualité du Satanisme. La démoncratie : l'antidote (2002), Actualité et Présence de Charles Maurras, t. I, Un très grand poète, la musique des vers au service de l'ordre, du beau et du vrai (2004), Actualité et Présence de Charles Maurras, t. II, L'altissime au service de la France et de l'Église (2005), De la démocratie à la démoncratie, ou la mort programmée (2008), Notre avenir est dans le passé (2008).









samedi 2 juin 2012

Le mercredi 27 juin sport et formation

Le mercredi 27 juin aura lieu notre prochaine séance de sport et formation. Ce sera l'occasion de nous rencontrer et de passr un moment de détente et de cohésion inoubliable, n'hésiter pas à nous contacter pour tous renseignements à rfyvelines@yahoo.fr . Pour savoir à quoi ressemble ces séances, visionnez la vidéo ci-jointe, tourné lors de notre dernière après-midi entre nationalistes !     http://youtu.be/E0zPOmfRwqA                                   

vendredi 1 juin 2012

Militant du Rf, une jeunesse nationaliste !

Le Renouveau français est un mouvement nationaliste essentiellement composé de jeunes, pourtant il compte aussi des militants plus âgés. L'engagement militant nécessite des qualités de dynamisme, de générosité, de don de soi, d'enthousiasme que l'on attribue généralement à la jeunesse; Mais certains hommes conservent, par caractère, ces qualités tout au long de leur vie car la jeunesse est en fait un état d'esprit. Laissons la parole au général Mac Arthur qui a très bien exprimé cette réalité :                                                                                                                                                                                La jeunesse n'est pas une période de la vie,
elle est un état d'esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l'imagination,
une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années : on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal.
Les années rident la peau; renoncer à son idéal ride l'âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille.
Il demande, comme l'enfant insatiable : Et après ?
Il défie les événements et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi.
Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi jeune que votre espoir.
Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.
Réceptif aux messages de la nature, de l'homme et de l'infini.
Si un jour, votre coeur est mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

Traduction d'un extrait du discours d'adieu du Général Mac Arthur,
Intitulé "Duty Honor Country" aux étudiants de l'école Militaire de West Point. 1962.