Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


spot 78

INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

dimanche 30 décembre 2012

Tous présents le 13 janvier !

Catholiques pour la Famille, rassemblons-nous le 13 janvier prochain !
Je termine en précisant que nous avons déclaré à la préfecture de Paris une manifestation partant à 13h du Jardin du Luxembourg pour se diriger vers l'Ecole Militaire où nous avons l'intention de terminer exactement comme le 18 novembre, en catholiques, conscients que cette bataille ne se gagnera pas en dansant mais par le recours à la grâce surnaturelle.
De son côté, Mme Barjot avait annoncé pour le 13 janvier 2012 trois points de départ différents. Nous en annonçons donc un quatrième (totalement libéré de Mme Barjot et de ses errements) sous l'intitulé "Catholiques pour la Famille" même si ce défilé n’est nullement exclusivement réservé aux catholiques et attirera sans nul doute beaucoup de Français de bon sens. Simplement, ici on ne cherchera pas à faire illusion, on ne fera pas mystère de sa foi, on ne tiendra pas de discours équivoque, on réclamera avec détermination le retrait immédiat du projet de loi visant à dénaturer le mariage et la parenté sans céder le moindre de nos principes en offrande au « politiquement correct ».
A quelques heures de Noël, ce moment intense durant lequel nous célébrons la naissance de l'enfant Jésus, divin fils, ayons l'humilité de méditer ces paroles de Saint Pie X :
"Si la génération actuelle a toutes les incertitudes et toutes les hésitations de l'homme qui marche à tâtons, c'est le signe évident qu'elle ne tient plus compte de la parole de Dieu, flambeau qui guide nos pas et lumière qui éclaire nos sentiers".
Au nom de toute l'équipe de CIVITAS, je vous souhaite une Sainte Fête de Noël !
Alain Escada, président de CIVITAS

samedi 22 décembre 2012

Illustres tombes dans le 92, cimetière de Sceaux.


Cimetière de Sceaux
 

GOUJON Charles (1912 – 1957)

Il fut l’un des plus prestigieux pilotes d’essais français, combattant aux 193 missions de guerre et aux 5.000 heures de vol. Il périt en vol lors d’une mission d’essai.

 

mercredi 19 décembre 2012

Le 13 janvier, le Renouveau français sera là !

Le 13 janvier n’appartient à personne. La rue appartient à tout le monde A l’évidence, l’ampleur de la mobilisation contre le projet de loi dénaturant le mariage et la parenté grandit chaque jour et s’étend à toutes les strates de la société française. Il ne fait plus aucun doute qu’une véritable marée humaine se répandra dans les rues de Paris le 13 janvier prochain pour exiger une seule chose : le retrait immédiat de ce projet de loi. Cette mobilisation populaire, il faut le répéter, n’appartient à personne et ne doit en aucune façon être transformée en troupeau anonyme, encore moins être détournée de ses objectifs. C’est avec inquiétude que nous avons vu un comité s’autoproclamer organisateur de cette contestation populaire pour immédiatement chercher à la brider, à la formater, à l’uniformiser, à l’aseptiser. Trois personnes prétendent ainsi s’accaparer la direction de cette foule qui gronde : Xavier Bongibault, président de Plus Gay sans Mariage, Laurence Tcheng, présentée comme de gauche, et « Frigide Barjot » qui se revendique « déjantée ». Ce triumvirat peut bien être de bonne volonté mais quelle est donc sa légitimité pour vouloir diriger la manœuvre le 13 janvier prochain ? Si on n’est ni gay, ni de gauche, ni déjanté, comment peut-on se reconnaître en ces trois meneurs de revue ? Ce comité cherche manifestement à confisquer la mobilisation populaire à laquelle nous assistons au profit d'un discours ambigu (normalisation de l'homosexualité, obsession de demander aux catholiques de se "camoufler" en citoyens lambdas de la République, consignes vulgaires,...). Une imposture L’émotion est grande chez beaucoup de participants aux manifestations du 17 novembre ou du 8 décembre, qu’ils soient catholiques ou non, qui se sentent trompés après avoir observé des situations surprenantes. Que Mme Barjot et ses acolytes demandent d’applaudir des duos homosexuels s’embrassant, cela laisse pantois. Que Xavier Bongibault et ses comparses fassent une fixation sur la lutte contre l’homophobie, concept inventé par le lobby homosexuel pour intimider et disqualifier les opposants à ses revendications, c’est pour le moins troublant. Que Mme Barjot se flatte devant tous les micros d’avoir participé à toutes les « gay pride » et que, lors des conférences de presse qu’elle organise, elle pousse le souci du détail jusqu’à régulièrement porter une veste marquée du logo du « Banana Café », bar gay de Paris, cela souligne des connivences étranges. La liste devient trop longue des errements que ce trio veut imposer à tous. Petit florilège des propos tenus ces jours-ci par Mme Barjot : - ceux qui viennent manifester le 13 janvier « seront obligés de défiler contre l’homophobie » ;ceux qui arrivent avec leur chapelet, « ce sera gentiment : dehors ! »- si des militantes de FEMEN se déshabillent, que les mères de famille en fassent autant « pour être en situation d’entamer un dialogue équitable » « La Manif pour Tous (…) rappelle qu’elle comprend les revendications d’homo-éducation (…) » (communiqué de F. Barjot du 13 décembre)
- « Le 13 janvier, il y aura un char des homos… et j’appellerai tout le monde à venir danser sur le char gay J’en arrête là tant c’est insupportable. Non, les Français qui viendront manifester le 13 janvier ne veulent pas d’une « homo-éducation » dans les écoles de leurs enfants ! Non, ils veulent pas d’un « PACS+ » ! Non, ils ne viennent pas pour danser sur un char gay ! Laisser passer ces erreurs graves, sous prétexte d’éviter les controverses, c’est permettre qu’elles se transforment en une gangrène qui corrompra tous les combats futurs. Savez-vous ce qu’est le scandale ? C’est d’induire le prochain en erreur par des paroles ambiguës, équivoques. Que personne ne vienne tenter de relativiser ces paroles de Mme Barjot au nom de la « com » qui permettrait toutes les inepties. Vous pensez que les mots n’ont pas d’importance ? Ils en ont bien plus que vous ne vous l’imaginez. Les mots sont la physionomie extérieure des idées. Le nombre n’est pas tout. Bien sûr, nous souhaitons tous que nos manifestations rassemblent de nombreux participants. Mais méfions-nous de faire du nombre un objectif essentiel et un critère prépondérant au prix de tous les sacrifices. C'est la vérité du message porté par les manifestants qui est essentielle. Si un défenseur de la Famille et du mariage, sous prétexte d'être efficace et de faire nombre, commence par mutiler la vérité ou l'atténuer à sa fantaisie, il ne défend plus la vérité. Il peut bien être de bonne foi mais à force d'accommoder le message à ses vues étroites et à son faible courage pour le rendre, imagine-t-il, plus acceptable à l'adversaire, il ne défend plus la vérité mais une illusion. Personne ne demande que le 13 janvier soit exclusivement réservé aux catholiques.Que nul ne se méprenne sur les raisons de ce communiqué.Je l'ai déjà dit et écrit souvent : il n’est pas besoin d’être catholique, chrétien, croyant, pour comprendre la nocivité de ce projet de loi. Et il faut se réjouir que des Français de tous milieux viennent jusque dans la rue crier leur indignation devant un projet gouvernemental qui souhaite défigurer l’institution du mariage et ouvrir la voie à la marchandisation de l’enfant.Mais si personne n’imagine demander que cette manifestation soit réservée aux seuls catholiques, il serait plus absurde encore de tomber dans l’excès inverse et d’exiger d’eux de manifester dans un anonymat honteux. Ce serait absurde parce qu’aucun journaliste, malgré tous les efforts « déjantés » de Mme Barjot, n’est dupe : tous constatent bien que les catholiques constituent le gros des bataillons des manifestants contre ce projet de loi. Ce serait aussi absurde parce que, de la même façon que personne n’imaginerait arracher ni la kippa que porterait un manifestant juif sur la tête ni le voile que porterait une manifestante musulmane, il est impensable, inacceptable, inadmissible que le trio qui prétend cornaquer cette manifestation se permette de déclarer que la personne qui aurait son chapelet à la main, « ce sera gentiment : dehors ! ». Les catholiques ne sont pas des citoyens de seconde zone.Par ailleurs,je dois dire mon exaspération d’entendre des catholiques déboussolés succomber aux recommandations tactiques douteuses de ceux qui sont avant tout très gênés à l’idée d’un réveil catholique. Comme si le message serait affaibli parce que porté en grande partie par un sursaut des catholiques. Qu’est-ce donc que ce raisonnement qui fait fi de toute espérance chrétienne alors qu’il est dit : « Par ce signe, tu vaincras ».Quoi, les parlementaires et les maires nous écouteraient moins parce que la foule serait identifiée comme catholique pour une très large proportion ? Mensonge entretenu par ceux qui ne veulent surtout pas d’un réveil catholique. Qu’au contraire les catholiques s’affichent avec détermination, qu’il apparaisse un réveil catholique particulièrement perceptible chez la jeunesse, et le monde politique toujours volatile ne manquera pas d’estimer qu’il faut tenir compte de cet électorat redevenu militant. Recommander aux catholiques de faire profil bas et de participer à la manifestation du 13 janvier comme s’il s’agissait d’un bal masqué, c’est se rendre complice des intégristes de la laïcité qui sont par ailleurs les rédacteurs du texte de loi que l’on prétend combattre. Réclamer la non-intervention de la religion dans le débat politique, c’est contribuer au développement d’un véritable athéisme social. Celui qui nie l’autorité de Dieu sur la société et sur les individus ne peut se prétendre catholique. On ne peut se dire catholique lorsqu’on pénètre dans une église et être simple citoyen républicain et a-confessionnel le reste du temps. On ne peut reconnaître au pied du tabernacle l’obligation de se soumettre à la volonté de Dieu, et s’y soustraire lorsqu’on est dans la vie publique. On ne peut être catholique durant la messe du dimanche matin et cacher sa foi durant la manifestation d’un dimanche après-midi ! Oui, nous manifesterons ce 13 janvier. A tous les catholiques, mais aussi à tous les Français de bon sens épris d’un discours porteur de vérité et sans concession pour le mensonge, je fixe solennellement rendez-vous le dimanche 13 janvier à partir de 13h place Pinel (métro Nationale) dans le XIIIème arrondissement. La rue appartient à tout le monde et nous n’avons pas besoin de l’assentiment d’un comité « gay friendly » pour manifester ! Dès à présent, préparons les transports groupés pour faciliter la participation du plus grand nombre. Exactement dans le même esprit que le 18 novembre dernier, CIVITAS organisera l’encadrement logistique de ce rassemblement et y accueillera sans aucun esprit de chapelle tous ceux qui veulent le retrait de ce projet de loi. Banderoles, bannières, drapeaux et pancartes y seront les bienvenus(pour autant que les textes se rapportent directement à l’objet de la manifestation et respectent la législation française). Chacun y viendra coiffé et habillé comme il le veut. Les catholiques n’y auront pas honte de leur foi, sans que cela soit signe d’exclusion pour les autres                                                              Alain Escada, président de Civitas

lundi 17 décembre 2012

La revue "l'héritage" est disponible auprès du Renouveau français section Yvelines.

La revue d'études nationales 'l'héritage" est disponible auprès du Rf 78. Les nationalistes des Yvelines du Renouveau français vont également commencer une campagne de vente à la criée de cette revue. Vous voulez vous former ? Achetez "l'héritage" ! Vous voulez militer ? Participez à la diffusion de "l'héritage" !

vendredi 14 décembre 2012

Un message d'Alain Escada.

Cet antichristianisme qui se développe en France   Le Colloque pour la Vie organisé à Biarritz il y a quelques jours par Mgr Aillet a connu un traitement assez similaire à celui de la manifestation du 18 novembre organisée par CIVITAS contre le projet de loi dénaturant le mariage et la parenté. Voilà qui n'est pas un détail et qui mériterait l'attention de tous les catholiques de France. Dans les deux cas, ces événements ont fait l'objet de provocations haineuses de la part de milieux unis par un antichristianisme primaire et viscéral qui s'accompagne d'une volonté explicite de subvertir la famille et la moralité. « Aillet, occupe-toi de ton c… », « God save the gouine », « Oui, oui, oui, à la sodomie, non, non, non, à l’inquisition ! », tels étaient les slogans de Biarritz. Parmi les porteurs de cette dernière pancarte, des hommes travestis en religieuses et des femmes affublées de cornes de diable. De quoi nous rappeler l'attaque des FEMEN dénudées, coiffe de religieuse sur la tête et inscriptions pornographiques et blasphématoires sur le corps. Le second point commun entre ces deux événements, c'est leur traitement médiatique. Dans les deux cas, les médias n'ont que peu évoqué la réussite de mobilisation de ces événements. Quasiment tous les gros médias ont préféré, dans un cas comme dans l'autre, insister essentiellement sur les contre-manifestations, faisant la part belle aux agitateurs. Troisième point commun : les propos de parlementaires socialistes à l'égard de ces événements. A propos de ce colloque pour la Vie, le député PS présent, Sylviane Alaux, parlait à la presse « de provocation pure et simple ». De quoi ici aussi nous souvenir des propos insultants tenus par différents ministres et parlementaires socialistes à l'égard de la manifestation du 18 novembre et de ces 20.000 participants. Et, bien sûr, jamais la moindre condamnation des provocations antichrétiennes pourtant incontestables. On se souviendra pourtant que la même famille socialiste n'avait pas manqué de dénoncer les "provocations" lorsque l'actualité s'était arrêtée sur une obscure bande-annonce -circulant uniquement sur internet- d'un film se moquant de Mahomet ou sur une caricature blessante pour les musulmans publiée dans Charlie Hebdo. Le parti socialiste confirme ainsi ce que beaucoup savaient déjà : au nom de la laïcité républicaine, il s'émeut de toute "islamophobie" tout en applaudissant chaque démonstration de "christianophobie". Pour les fondamentalistes de la laïcité, l'ennemi c'est le christianisme. Il est essentiel que chaque catholique en prenne conscience. Alain Escada, président de Civitas

mercredi 12 décembre 2012

Après-midi de formation du Rf 78 ce jour.

Il faisait bien froid ce jour aussi les gants et bonnets n'étaient-ils pas superflus ! Nous avons pu nous réchauffer quelque peu le corps en pratiquant des exercices physiques et nous réchauffer nos coeurs de militants nationalistes en pratiquant le chant collectif (les lansquenets, le combat de demain). Nous avons aussi entendu un petit topo sur le plan mondialiste de destruction de la famille. C'était aussi l'occasion pour plusieurs adhérents ou sympathisants du Renouveau français Yvelines qui ne s'étaient encore pas rencontrés, de faire connaissance. Bien sûr, nous ne nous sommes pas quittés avant d'avoir pris le pot, ou plutôt le goûter, de l'amitié.     

Illustres tombes dans le 92 : cimetière de Saint-Cloud.

Cimetière de Saint-Cloud BLIER Bernard (1916 – 1989) Ce grand acteur français a commencé ses études à Paris, au Lycée Condorcet. Dès 1931 il prend des cours de théâtre et commence à se produire sur scène, puis rencontre des personnalités comme Gérard Oury et Jean Gabin, avec qui il se liera d'amitié. Après le théâtre, c'est au succès qu'il trouve le succès dans des films de Henri Verneuil, Michel Audiard et Georges Lautner. En compagnie de Belmondo, Gabin, de Funès et Ventura, il tourne dans les plus grands succès du cinéma : Le cave se rebiffe, Les tontons flingueurs, Les barbouzes. Il est mort à St Cloud le 29 mars 1989. BRIGNEAU François (1919 - 2012) Fameux polémiste nationaliste, journaliste à la verve cinglante et précise, Brigneau était un excellent connaisseur des arcanes du système politique du 20è siècle et un esprit d’une grande culture. Né le 30 avril 1919 sous le nom d’Emmanuel Allot, il avait rejoint en 1937 le Parti frontiste (antifasciste) avant d’embrasser la cause de la ‘Révolution européenne’ ; engagé le 6 juin 1944 dans la Milice, affecté à la lutte contre le marché noir, Brigneau est arrêté à Paris en fin septembre 1944 et emprisonné sans aucun fondement dans une prison clandestine où il est tabassé et l’objet de simulacres d’exécutions. Puis quelques jours après il est transféré à Fresnes dans la cellule 338 au troisième étage de la prison. Il côtoya notamment Brasillach, spécialement le jour de sa mort (6 février 1945). Brigneau fut acquitté le 17 décembre 1945 et écrira A Fresnes au temps de Robert Brasillach et Henri Béraud à Fresnes dans le numéro 1 des Cahiers Henri Béraud. Après guerre, marié à la nièce de Georges Suarez (premier journaliste assassiné pendant l’Epuration), il se lance dans la littérature ; lié au courant des Hussards, il reçoit en 1954 le Grand prix de la littérature policière pour La beauté qui meurt. Puis il se lance dans le journalisme où son style pamphlétaire fait merveille : Paroles françaises, La dernière lanterne, Indépendance française, France Dimanche, Le rouge et le noir, Constellation, La Fronde, Rivarol, Ciné Monde, L’Intransigeant, L’Auto-journal, Semaine du Monde, Télé Magazine, Paris-Presse, L’Aurore, Minute, Présent, National Hebdo et Le Libre journal de la France courtoise furent les principaux journaux dans lesquels il écrivit. Créateur des Editions du Clan dans les années 1960, animateur du Comité de soutien à Tixier-Vignancour en 1965, cofondateur d’Ordre Nouveau, Brigneau fut à l’origine, le 5 octobre 1972, de la fondation du Front National pour l’unité française (futur FN), dont il fut vice-président et membre du bureau politique avant de rallier le Parti des Forces Nouvelles. Ardent opposant à la Révolution, il contribua au succès de l’Anti 89 à l’occasion du bicentenaire de celle-ci (1989). Parmi ses ouvrages il faut mentionner Mon après-guerre, Mes derniers cahiers, Faut tous les buter, Si Mussolini était conté, Brigneau en Argot, Paris.’Sous le pont des souvenirs coule la Seine’, Mon village à l’heure socialiste, Jean-Marie m’a tuer, La mort en face, Quand les armes se sont tues, Cruz : la télé et moi. Journal secret et Jules l’imposteur. François Brigneau est mort le 9 avril 2012.

jeudi 6 décembre 2012

La guerre de Vendée, le film disponible en dvd.

Le film "The war of Vendée" est disponible chez patriote productions http://www.patrioteproductions.com/fr/382-dvd-guerre-de-vendee.html   unique en son genre, il s'agit d'une production américaine indépendante du circuit cinématographique officiel (notez aussi que les acteurs sont tous des jeunes, adolescents ou enfants car la compagnie qui a réalisé le film mène un projet éducatif et associatif) , voici la bande annonce du film :
 

Bisous d'affiches au M.J.S. 78 de la part des nationalistes des Yvelines !

Pas de bol pour le M.J.S. 78, nous sommes encore repassés sur des affiches fraîchement collées !

Action du Rf Paris, les nationalistes de Paris contre le "mariage gay" !

Et demain, j’épouse ma chèvre…? Les jeunes du RF Paris ont déployé leur banderole sur la tour Eiffel, ce samedi après-midi, pendant un quart d’heure.

mercredi 5 décembre 2012

Tomorrow belongs to me, traduction en français de la chanson interprétée par Saga.


Le soleil sur la prairie est d’une chaleur estivale

Le cerf cours libre dans la forêt

Mais se sont rassemblés pour saluer l’orage

Demain m’appartient

Demain m’appartient

 

La branche du tilleul est feuillue et verte

Le Rhin offre son or à la mer

Mais quelque part une gloire attend invisible

Demain m’appartient

Demain m’appartient

 

Le bébé dans son berceau ferme les yeux

La fleur de l’arbre étreint l’abeille

Mais bientôt un chuchotement dit, élèves-toi, élèves-toi

Demain m’appartient

Demain m’appartient

 

Maintenant ma patrie, ma patrie, montre-nous le signe

Que tes enfants ont attendu de voir

Le matin viendra où le monde m’appartiendra

Demain m’appartient

Demain m’appartient

 

Demain appartient

Demain appartient
Demain appartient à moi !     

mardi 4 décembre 2012

Vieux Cimetière de Neuilly sur Seine, illustres tombes.


Vieux Cimetière de Neuilly sur Seine
Nota: ces notices biographiques ne sauraient en aucun cas constituer des apologies des actes, écrits ou pensées des personnes citées et ne visent qu'à apporter des connaissances de culture générale.
 

ANZANI Alessandro (1877 – 1956)

Pilote et ingénieur motocycliste italien, il établit plusieurs records avant de créer en 1906 sa propre société de moteur à Asnières. Il fournit alors non seulement des moteurs pour les productions de motos, mais également pour l’aviation : ses moteurs sont fournis aux entreprises Caudron et à Louis Blériot : c’est avec un moteur Anzani que ce dernier traversa la Manche en 1909. Sa société française fut vendue en 1923 à Henry Potez. Il repose dans le carré E.

BATHIAT Léon (1877 – 1967)

D’abord coureur cycliste et motocycliste, il devint aviateur et fut le premier pilote à traverser la France du Nord au Sud en 1912, devenant un pionnier de l’aviation. Il construisit ensuite des avions. Pendant la guerre, après avoir été en escadrille au front, il se voit confier par le Gouvernement le soin de construire et de remettre en état un grand nombre d’appareils. Il fut également en 1922 l’organisateur du premier meeting aérien d’après-guerre au Bourget. Il était le cousin d’Arletty (née Léonie Bathiat).

DRIEU LA ROCHELLE Pierre (1893 – 1945)


Pierre Drieu La Rochelle, né le 3 janvier 1893 d’une famille nationaliste normande, est un écrivain romantique nationaliste.

En 1907, alors âgé de 14 ans, il découvre : Ainsi parlait Zarathoustra, de son futur maître à penser Friedrich Nietzsche. Après un séjour en Allemagne et en Angleterre, il se définit comme « germanophile et anglomane ». La guerre de 1914 éclate, il sert dans l'infanterie et sera blessé trois fois. Le choc de la guerre le marquera à jamais et déterminera toute son œuvre à venir.

Au lendemain de la guerre, il se lie d'amitié avec Aldous Huxley, l'auteur du roman d'anticipation : Le meilleur des mondes. Il dévore les livres de Shakespeare, de Gœthe, de Schopenhauer, de Dostoïevsky, de Proudhon, de Sorel, de Barrès, de Kipling, de Péguy, de Guénon, et de Maurras. Ses premiers poèmes sont publiés en 1917 avec Interrogation. Entre 1920 et 1924, il est tenté par le dadaïsme, se rapproche des surréalistes André Breton et Paul Éluard, et l'on peut voir apparaître son nom dans la revue Littérature. Il devient l'ami de Louis Aragon.

En 1925, il signe un article historique dans la N.R.F. : La véritable erreur des surréalistes, qui le sépare pour toujours de l'avant-garde. Entre-temps, il écrit et alterne entre essai lyrique, Mesure de la France, et un roman analytique, L'homme couvert de femmes. En 1926, il rencontre Emmanuel Berl lors de son passage à La Revue hebdomadaire. 1927 est l'année de l'amitié majeure de Drieu avec André Malraux qui sera fidèle à sa mémoire jusqu'au bout. Après le 6 février 1934 il écrit des articles pour Bertrand de Jouvenel à La Lutte des Jeunes en 1934 et fait la connaissance du militant Pierre Andreu, son futur biographe. Il écrit sa profession de Foi dans Socialisme fasciste : « Cette envie de faire une politique de gauche avec des hommes de droite ». La même année, il rencontre Ernst von Salomon à Berlin.

Drieu excelle dans le journal intime ou le témoignage introspectif. Ses réflexions décadentistes et ses descriptions pessimistes du monde littéraire et politique font de lui le meilleur mémorialiste de son temps. Sans oublier la grâce de sa plume de journaliste que l'on retrouve dans les recueils d'articles : Chronique politique, 1934-1942 et Le Français d'Europe.

En 1936, il adhère au Parti Populaire Français dirigé par Jacques Doriot, et ne manque pas le rendez-vous de Saint-Denis. Il écrit régulièrement dans L'Émancipation Nationale, organe de presse du parti. En 1939 il envoie sa lettre de démission au P.P.F. Après la défaite de 1940, il prend en main la direction de la Nouvelle Revue Française. Il donne aussi des articles à La Gerbe d'Alphonse de Châteaubriant. En 1943 il collabore à l'hebdomadaire Révolution Nationale de Lucien Combelle. Il se réclame ‘socialiste européen’ mais déchante très vite, en voyant l'imminente chute du IIIe Reich. La conception de l'Europe de Drieu reste idéalisée et utopique car influencée par les lectures d'auteurs romantiques allemands.

Refusant l’exil, traqué et vivant dans la clandestinité, il se suicide le 15 mars 1945 à l'âge de 52 ans, après avoir achevé son Récit secret où il déclare : « je me suis conduit en pleine conscience, au milieu de ma vie, selon l'idée que je me fais des devoirs de l'intellectuel ».

C'est le testament sincère d'un humaniste sensible, d'un ascète et d'un poète lucide en quête d'absolu dans une époque tourmentée et déliquescente. Malgré une œuvre inégale, une vitalité et un tempérament unique se dégagent de tous ses livres. Pierre Drieu La Rochelle peut être perçu comme le fils spirituel de Friedrich Nietzsche et de Maurice Barrès.

« Jeunes gens, comment pouvez-vous écouter encore ces bonshommes qui ont battu tous les records de l'imprévoyance criminelle, de la meurtrière incompréhension ? ». [1941, Ne plus attendre]


GYP (Sibylle Gabrielle de Riquetti de Mirabeau, comtesse de Martel de Janville :

1849 – 1932)

Arrière petite nièce de Mirabeau, mais élevée dans un milieu ultra légitimiste, elle se fit connaître en étant l’auteur de plus de 120 romans qui connurent un succès équivalent à l’oubli dans lequel ils sont tombés de nos jours. Son œuvre est teintée d’un très grand sens de l’observation et n’est pas dénuée d’humour. Gyp était aussi nationaliste : elle s’engagea sans modération auprès des antifreyfusards. De l’un de ses romans, Le mariage de Chiffon, Claude Autant-Lara tira un film en 1942. Auprès d’elle repose son fils, Thierry de Martel.

de MARTEL Thierry (1875 – 1940)

Le chirurgien Thierry de Martel, fils de Gyp, contribua, dans les années 1920-1930, à faire de la neurochirurgie une branche autonome de la médecine. Nationaliste comme sa mère, il s’engagea dans le premier parti fasciste français, le Faisceau de Georges Valois. Il se suicida lors de l’entrée des troupes allemandes à Paris, le 14 juin 1940.