Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


spot 78

INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

jeudi 28 février 2013

Renouveau français 78 au Pecq (département des Yvelines).




Vous voulez vous investir dans l'action militante nationaliste dans le 78 ? Rejoignez le Renouveau français, nous sommes présents sur le terrain toute l'année ! Collage d'affiches sur Le Pecq :

mardi 26 février 2013

Autocollants, badges et Tee-shirts nationalistes disponibles auprès du Renouveau français Yvelines.

Les autocollants sont à votre disposition (3 euros le paquet de cent) auprès de votre section Rf78. Sont maintenant disponibles les badges (2 modèles disponibles, 1,5 euro pièce) et les Tee-shirts " France d'abord" en taille S,M, et L (attention quantité limitée).  Contact :   rfyvelines@yahoo.fr . Ces articles seront également disponibles à la vente lors de notre après-midi de formation le 12 mars 2013.

lundi 25 février 2013

Les militants nationalistes du Renouveau français 78 veillent !


     1. Les socialistes ont collé leurs affiches.  2. Des camarades du Rf 78 passent devant.  3. Le panneau d'affichage devient     nationaliste ! 

dimanche 24 février 2013

Fort d’Ivry – Ivry sur Seine. Roger Degueldre.


Roger Degueldre, fusillé le 6 juillet 1962

Né le 19 mai 1925 à Louvroil à proximité de la frontière belge, Degueldre est issu d'une famille très modeste (le père était cheminot). Ancien maquisard F.T.P. puis engagé dans l'armée à la Libération, il passe à la Légion et gagne ses galons en Indochine, puis en Algérie.

Après un parcours irréprochable dans la Légion Etrangère où il sera nommé officier au sein du 2è REP, il "déserte" en janvier 1961 face à la trahison de l’élite politique, pour sauvegarder l’Algérie française et l’honneur de la France.

 

A ce titre il participe au putch des généraux en avril 1961 puis s'investit dans une mission dont il sera le chef : les fameux commandos "Delta" de l'O.A.S, dont il dirigera le Commando Delta 1 où l’on retrouvera notamment les légionnaires Claude Piegts, Albert Dovecar et Marc Tenard. Suite à ses nombreux coups d’éclat notamment l’élimination du Commissaire algérois anti-OAS Gavoury, il est condamné à mort par la Cour militaire de justice le 28 juin 1962 et fusillé le 6 juillet suivant.

 

Ce 6 Juillet 1962, avant le lever du jour, la porte d'une cellule de la prison de Fresnes s'ouvre. Le Lieutenant Degueldre se lève. Il se rase, enroule autour de sa poitrine un drapeau tricolore et revêt sa tenue de Parachutiste. Puis il dit "je suis prêt".

 

Une heure plus tard au fort d'Ivry, l'officier qui commande le peloton d'exécution gaulliste abaisse le bras. Le Lieutenant Roger Degueldre crie "Vive la France" et tombe le corps transpercé. Malgré le coup de grâce le Lieutenant du 1er REP vit encore. Il faudra encore 12 minutes d'acharnement d'incapacité et de haine au chef de peloton, pour parvenir à achever sa victime ...

  

« Je préfère une désobéissance qui me coûte la vie,

plutôt qu’une obéissance qui me coûte l’honneur ».



[Lieutenant Roger Degueldre, exécuté le 6 juillet 1962 au fort d’Ivry]

samedi 23 février 2013

Saga - Hypocrite : traduction en français des paroles de la chanson.

                    Hypocrite                                                                                                                                  Trop de gens passent leur temps en se répandant en bavardages et en complaintes.  Ils cherchent quelqu'un à pendre, ils cherchent quelqu'un à blâmer. Dans leur recherche d'un bouc émissaire, ils ont oublié de regarder dans le miroir. L'apathie des gens faibles est ce qui a causé cette horreur quotidienne.           refrain:  Vous êtes ceux, ceux à blâmer oh. Les gens comme vous sont la cause de nos souffrances oh. Vous êtes ceux, ceux à blâmer oh. Commencer dejà par agir mais utilisez votre cerveau !                                                                                                                              Les gens comme vous n'ont pas les tripes de se battre pour leurs opinions. Vous oubliez le simple fait que ce sont les gens comme vous qui nous font perdre. Vous vous plaignez des politiciens mais vous continuez de voter pour eux. Vous avez perdu votre âme,vous, assez lâches pour vendre votre fierté, c'est un pêché.        refrain: Vous êtes ceux, ceux à blâmer oh. Les gens comme vous sont la cause de nos souffrances oh. Vous êtes ceux, ceux à blâmer oh. Commencer dejà par agir mais utilisez votre cerveau !                                                                                                                                                  Vous vous plaignez de l'immigration, vous me rendez vraiment malade car c'est votre vote qui ouvrit les frontières; vous sales hypocrites. Vous dites une chose mais vous faites l'inverse, comment un homme peut-il être aussi faible ? Vous êtes la raison de nos souffrances, alors blâmez-vous mais ne me blâmez pas.       refrain: Vous êtes ceux, ceux à blâmer oh. Les gens comme vous sont la cause de nos souffrances oh. Vous êtes ceux, ceux à blâmer oh. Commencer dejà par agir mais utilisez votre cerveau !                        Merci Saga. Nous aussi, posons nous la question de savoir si nous faisons vraiment tout ce que nous devrions faire au quotidien pour la cause nationaliste.

vendredi 22 février 2013

Fort d’Ivry – Ivry sur Seine : Jean Bastien-Thiry.

Fort d’Ivry – Ivry sur Seine, Val de Marne.       Jean Bastien-Thiry , fusillé le 11 mars 1963 Né le 19 octobre 1927, Jean Bastien-Thiry est âgé de 35 ans, marié et père de trois fillettes, lorsqu’à l’aube d’un jour froid de printemps la salve du peloton d’exécution vient achever son sacrifice. Polytechnicien, scientifique brillant et de stature internationale, l’un des meilleurs officiers de l’Armée française, Bastien-Thiry œuvrait à la Cité de l'Air, à Paris, avec le grade de lieutenant-colonel, quand sa conscience fut bouleversée par le drame algérien. Après l’espoir suscité en 1958 par l’arrivée au pouvoir du général Charles De Gaulle, survenue grâce au soulèvement de l'armée et des Français d'Algérie le 13 mai, le régime avait trompé cette espérance du maintien de l’intégrité territoriale, de la sauvegarde de l’Algérie française et du respect de la parole donnée aux musulmans d’Algérie. Peu à peu, l’Etat gaulliste avait été de félonies en lâchetés. Pire, après la signature des accords d'Evian le 19 mars 1962, les Pieds-Noirs refluaient en désordre vers la métropole et les vainqueurs du FLN assassinaient dans des tortures affreuses plusieurs dizaines de milliers de harkis et autres musulmans francophiles, abandonnés par l'armée française et le gouvernement du général De Gaulle. Comme beaucoup de militaires d’honneur et de droiture de sa génération, Jean Bastien-Thiry ne peut pas accepter les revirements du général De Gaulle, qui sont autant de trahisons à l'égard de la Nation, des Français d'Algérie et des musulmans fidèles à la France. Sous l'égide d'un mouvement clandestin, le Conseil National de la Résistance de Georges Bidault, Bastien-Thiry organise un attentat contre le cortège du Président. Le 22 août 1962, alors que de Gaulle rentre avec son épouse de sa résidence de Colombey-les-Deux-Églises, sa DS présidentielle est prise sous les feux croisés du commando dirigé par Jean Bastien-Thiry, au Petit-Clamart. L’attentat échoue. Jean Bastien-Thiry est arrêté le 15 septembre 1963 à son retour d'une mission scientifique en Grande-Bretagne. Un tribunal d'exception, la Cour militaire de Justice, juge les prévenus … sans qu’un recours en cassation soit possible. Les deux tireurs sont grâciés mais non leur chef, qui tient à assumer l’acte et à le justifier. Huit jours à peine après le jugement, le 11 mars 1963 à 6 heures 39, le colonel Jean Bastien-Thiry est fusillé au fort d'Ivry. Cette exécution politique est la dernière qu'ait connue la France à ce jour. « Nous savons qu’il existe un premier commandement de Dieu, le plus grand de tous, qui nous commande la charité et la compassion envers nos frères dans le malheur. C’est pourquoi il a de tout temps été admis dans la Chrétienté que dans certaines conditions, un acte de force pouvait être un acte d’amour et que peuvent être licites des actions de force dirigées contre ceux qui ont perdu le sens moral et le sens humain, et qui précipitent dans la désolation ceux qu’ils ont la charge de protéger et de défendre ». [Bastien Thiry, déclaration du 2 février 1963 devant le tribunal]

jeudi 21 février 2013

Dépannage informatique ? La solution :

                                                       Humour et pub pour nos amis.

Conférence sur la virée de Galerne.

Association du Souvenir de la Chouannerie du Maine
Samedi 23 février 2013

A l'invitation de la Société d'Archéologie et d'Histoire de la Mayenne, v
ous êtes cordialement invité(s) à assister à la conférence animée par

Pierre GRÉAU
"La marche sanglante des Vendéens"

à 14h30, amphithéâtre de l'Université Catholique de l'Ouest
14, rue du Mans à Laval
(Participation - non membre de la SAHM : 5 €)
Pierre Gréau est :
- Vice-président du Souvenir vendéen (www.souvenirvendeen.org)
- Secrétaire de l’Association Le Mans Virée de Galerne (www.le-mans-viree-de-galerne.com)
- Membre du Souvenir de la chouannerie du Maine
- Membre des Descendants de Chouans et Vendéens
- Président du Cercle d'histoire et d'études locales du Pays de la Châtaigneraie

mardi 19 février 2013

Mardi 12 mars, prochain après-midi de formation-sport-cohésion du Rf 78 !

Notre prochain après-midi de formation aura lieu le Mardi 12 mars. Au programme: sport, topos de formation, chants nationalistes, pot de l'amitié, camaraderie. C'est l'occasion de nous retrouver entre militants. Mais aussi, pour nos sympathisants, de nous rencontrer et de découvrir nos activités. Renseignements et inscriptions sur rfyvelines@yahoo.fr .

lundi 18 février 2013

Jean Dutourd défendant la monarchie dans " Le feld-maréchal von Bonaparte".

" La France de l'Ancien Régime était protégé du pouvoir dit "absolu" par une infinité d'habitudes ou d'avantages locaux qui, à force d'exister et de durer , avaient fini par devenir intouchables. A cause du droit coutumier, qui était partout et variait de province à province, l'autorité suprême ne pouvait jamais faire complètement ce qu'elle désirait. Bref il y avait bien de l'exagération dans le cri de "mort aux tyrans !" poussé par les révolutionnaires. Les tyrans sont venus avec la démocratie, abolissant les droits coutumiers, nivellant tout sous la même contrainte." Jean Dutourd dans " Le feld-maréchal von Bonaparte".                                                                                                                                                         
                                                                                                                                                                              Dans ce petit livre admirable, le regretté Jean Dutourd nous rappelle tous les bienfaits que le régime monarchique apportait à la France et ceux qu'il aurait encore procurés si la révolution de 1789 avait échoué. Hélas, la révolution dite française eut lieu et fut une catastrophe pour notre pays mais également pour l'Europe et l'Amérique ; l'auteur le démontre ici amplement mais parvient  également à nous divertir par sa grande culture et son écriture chaleureuse et enjouée.   

samedi 16 février 2013

vendredi 15 février 2013

"Christianisme et Franc-Maçonnerie" de Léon de Poncins.

Récemment réédité par les "Editions de Chiré", voici encore un livre bien utile à la formation politique d'un militant nationaliste. Avant d'entreprendre la lecture de cet ouvrage, il faut tout de même disposer de connaissances de base sur la Franc-Maçonnerie et sur l'histoire de l'Eglise catholique depuis les années soixantes, sans quoi ce livre paraîtra abscons. Malgré son titre, le double langage de la f.m. vis-à-vis de l'Eglise n'est pas l'unique sujet traité ; nous trouvons, entre autres, dans ce volume, une étude de l'influence de la  f.m. dans le déclenchement et le déroulement de la révolution dite "française" de 1789.                                                                                                          
    

dimanche 10 février 2013

Nouveaux livres disponibles auprès de la Librairie française.


NOUVEAUTÉS / LIVRES À SUCCÈS

Le Carême au jour le jour - Abbé Troadec.
Ce petit livre de circonstance propose des « Lectures et méditations quotidiennes pour prier seul ou en famille » durant cette période, afin de mieux « monter vers Pâques ». Utile pour soi ou bon à offrir ! 165p. 9 €.
Rues barbares - Piero San Giorgio, Vol West.Le nouveau livre de l'auteur du best-seller Survivre à l'effondrement économique. « Eau, nourriture, hygiène, défense, lien social… Comment se préparer aux conditions extrêmes d’un chaos à venir. » Spécialement en ville. 403p. 21€.
La tyrannie médiatique - Jean-Yves Le Gallou .
Les médias façonnent l'opinion et sont soumis aux banques ainsi qu'aux salles de rédaction gauchistes. L'auteur «reconstitue l’histoire et autopsie cette tyrannie des temps modernes ; il trace aussi les voies de son renversement. »
378 p. 23 €.
La Démocratie peut-elle devenir totalitaire ?
Dernière publication de l'association Renaissance catholique, ces actes de l'université d'été 2012 réunissent 11 historiens, universitaires, philosophes, journalistes... 406 p. 22 €.
La France Orange mécanique - Laurent Obertone.
« Enquête sur un sujet tabou : l'ensauva-gement d'une nation. » Un alarmant tableau de la situation sécuritaire en France. Préface de X. Raufer. 360 p. 18€.
DVD Paris Céline.
Ce DVD « propose pour la première fois de voyager dans le Paris de Louis-Ferdinand Céline. Un voyage en compagnie de Lorant Deutsch », auteur par ailleurs du fameux Métronome (ici sous ses différentes formes). 66 min. 15 €.

L'histoire fabriquée - Vincent Badré.
« Ce qu'on ne vous a pas di à l'école ». L'auteur évoque la façon dont les manuels scolaires de la République (mal)traitent l’histoire...288 p . 21 €.
L'héritage de Vichy - Cécile Desprairies.
« Ces 100 mesures toujours en vigueur ». En dépit d'un ton partisan superflu, ce livre révèle l'origine « vichyste » de nombreuses dispositions législatives. On sera souvent étonné ! 237p. 27,5 €
Les 13 lignées sataniques - Robin de Ruiter.
Ce best-seller international décortique la « suprématie d'un nouveau pouvoir géopolitique supra-national composé par les plus riches familles de la planète.» Nouvelle version. 318 p. 30 €.
UN AUTEUR : Jacques HEERS

Décédé il y a quelques semaines, Jacques Heersfut un historien français de grand talent et de grand renom. Spécialiste de l’histoire du Moyen Âge, professeur à la faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris-Nanterre, puis directeur des études médiévales à Paris IV, ce catholique de conviction n'était pas soumis à l'historiquement correct.
Nous mettons à votre disposition ici ses ouvrages les plus connus (dont certains en poche), et en particulier son fameux Le Moyen-Âge, une imposture.


UN ÉDITEUR : CIVITAS
L'institut politique catholique Civitas a fait parler de lui dans les médias ces temps-ci.
Il est aussi éditeur et nous vous proposons ici différentes publications: revue, fascicule, livre, CD...
Dont le livre de son président Alain Escada : Mariage homosexuel, homoparentalité.


AUTRES LIVRES
Pour finir, signalons aussi :
• Une solide biographie de Georges Albertini, « Socialiste, collaborateur, gaulliste », par Pierre Rigoulot. 410 p. 24,5 €, Perrin.
• Sous le titres Chroniques radioactives, les remarquées chroniques de Charles-Henry d'Elloy dans l'émission de Martial Bild sur Radio Courtoisie. 172 p. 17,5 €, Godefroy de Bouillon.
• Un Karl Marx, par Nicolas Tandler. 128 p. 12 €, Pardès.
• Une imposante Histoire politique des services secrets français, de la Seconde Guerre mondiale à nos jours. 728 p. 26 €, La découverte.

mercredi 6 février 2013

Forts de sang. C'était un 6 février.


BRASILLACH Robert (septembre 1944 à février 1945)

Ce symbole de la jeunesse ardente, de l’amitié fidèle et de la finesse littéraire fut emprisonné à Fresnes puis condamné à mort pour ses écrits dans Je suis partout avant d’être exécuté au fort de Montrouge le 6 février 1945. Ne se faisant aucune illusion sur le résultat des recours déposés par son avocat ou de la demande en grâce signée par les plus grands écrivains français et adressée au général de Gaulle, il attendait son exécution dans sa cellule. Les Poèmes de Fresnes ont été écrits dans cette prison alors que l’auteur n’avait ni stylo ni papier. Il avait réussi à se procurer une plume qu’il cachait dans une pipe et du papier qu’il arrachait d’un carnet. C’est par son avocat que ces poèmes admirables sont sortis de Fresnes.

mardi 5 février 2013

Forts de sang.

C'est avec plaisir, que nous vous présenterons, par feuilleton, une étude sur les patriotes fusillés suite aux douloureux épisodes de la seconde guerre mondiale et de la guerre d'Algérie. Ce travail, réalisé par un de nos amis, n' a pas un but apologétique, mais permettra à beaucoup de découvrir des faits généralement occultés.

FORTS DE SANG


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De la 2è guerre mondiale à la guerre d’Algérie, bon nombre de grands patriotes français, ayant pour certains rendu d’éminents services à la France dans des domaines aussi différents que l’art, la politique ou la défense nationale, ont été emprisonnés et exécutés par des régimes de haine.

Certains, entre 1939 et 1945, s’étaient engagés avec espoir et conviction dans le mouvement de la renaissance française prôné par le Maréchal Pétain et le nouvel Etat Français, renaissance s’appuyant sur le long héritage de notre pays, le retour à la terre et les valeurs patriotiques et spirituelles. Pourtant, la guerre finie, ils ont été assassinés impitoyablement, couchés par des balles françaises après des procès bâclés.

Pendant que le pays rendait justement hommage à des résistants –souvent ni gaullistes ni communistes- morts pour avoir choisi de résister militairement à l’occupant plutôt que politiquement comme l’Etat Français, ceux qui avaient suivi avec honneur l’homme le plus admiré des français, le vainqueur de Verdun, le chef qui ne ment pas, étaient non seulement assassinés mais voués à la haine publique, à la honte nationale et à l’enterrement dans les oubliettes d’une Histoire qu’on efface.

D’autres, pendant les évènements d’Algérie, avaient dignement pris la voie de l’honneur, de la parole donnée, de la grandeur française. Eux aussi, alors qu’ils s’étaient sacrifiés pour ce noble combat, ont été exécutés par un régime de lâches et désignés dans l’opinion comme de dangereux séditieux et des ennemis à abattre. Eux aussi ont été inscrits dans le marbre de la 5è République naissante comme une tâche désagréable et méprisable qu’on doit oublier.

Sur la terre d’Ile de France, dans des forts de sang, ces hommes sont fièrement tombés pour la patrie … celle-ci ne les oubliera pas, elle leur rendra le juste hommage qui leur est dû.

 

Seigneur, voici couler le sang de notre race,


Sang du combat guerrier, sang des guerres civiles,

Sang des foyers noircis que quelque flamme efface,

Sang de ceux qu’on fusille aux fossés de nos villes

(…)

Seigneur, voici couler le sang de nos garçons,

Il a tout recouvert la patrie déchirée.

Quand verrons-nous jaillir, ô tardive saison,

De tout ce sang versé la moisson désirée

[Robert Brasillach, Poèmes de Fresnes]

lundi 4 février 2013

Les badges du Renouveau français maintenant disponibles auprès de la section des Yvelines.

A la mode chez les jeunes, il y a une trentaine d'années, le badge est de retour. Vers la fin des années 70 et le début des années 80, le badge était arboré par les jeunes sur leur blouson afin de montrer leurs goûts musicaux non-conformistes (hard rock, punk, etc...) ou diverses revendications. Aujourd'hui le badge revient mais il a perdu beaucoup de sa valeur contestataire. Le Renouveau français, redonne donc au badge son sens originel, identitaire et contestataire, en éditant la fleur de lys Rf en badge au format classique de 2,4 cm de diamètre.                                                   disponibles auprès de la section Rf 78

samedi 2 février 2013

Affichages nationalistes à Coignières.


Les militants nationalistes du Renouveau français des Yvelines sont présents sur le terrain. Vous aussi, rejoignez le combat nationaliste !

vendredi 1 février 2013

Illustres tombes dans le 92, le cimetière de Suresnes.

Cimetière de Suresnes CLUSERET Gustave Paul (1923 – 1900) Gustave Paul Cluseret, né à Suresnes le 13 juin 1823 et décédé le 21 août 1900, était un général, aventurier et homme politique français. Cluseret entre à 18 ans à Saint-Cyr dont il sortira officier. Lieutenant en 1848, il quitte le service régulier et devient commandant d’un bataillon de la garde mobile qui, sous les ordres de Cavaignac, réprime la révolution. Il reçoit la croix de la Légion d'honneur pour avoir enlevé onze barricades et pris plusieurs drapeaux aux insurgés. En mars 1850 il fait l'objet d'un retrait d'emploi de la part de la République puis le nouveau régime bonapartiste lui offre en 1853 une entrée au 58° régiment d'infanterie de ligne et un commandement en Algérie en 1854. Adjoint du futur général Chanzy, Cluseret rejoint les affaires indigènes à Tlemcen. En 1855 il part en Crimée pour combattre contre la Russie tsariste. Blessé deux fois, il est nommé capitaine pour sa bonne conduite au feu. De retour en France il repart aussitôt en Algérie pour participer à la conquête de la Grande Kabylie. L’expédition des Mille menée par Garibaldi en 1860 lui donne l’occasion de reprendre les armes (expédition des Deux-Siciles). Blessé au siège de Capoue, il est versé avec le grade de lieutenant-colonel à l’État-Major de l’armée italienne. L’attrait de l’aventure le pousse en 1862 à rejoindre les Nordistes dans la guerre de Sécession américaine ; il intègre l’état-major du général McClellan qui commande l'Armée du Potomac. Colonel, passé au service du général Frémont dont il commande l’avant-garde, Cluseret reçoit, après sa participation courageuse à la bataille de Cross-Keys en 1862, le brevet de général de brigade. Après avoir commandé diverses actions contre le général confédéré Thomas "Stonewall" Jackson, Cluseret démissionne en 1863 puis se lance dans le journalisme à New York. Son journal, The New Nation, prépare la campagne présidentielle du général Frémont, républicain radical opposé à la réélection du président Lincoln. De retour en Europe en 1867, il se rend en Irlande pour soutenir le mouvement Fénian. Il dirige plusieurs actions armées (notamment l’attaque de Chester Castle en février 1867) qui lui valent de la part de la justice anglaise une condamnation à mort par contumace. Ayant pu rentrer en France, Cluseret publie des articles anti second Empire dans le Courrier Français. Plus tard la Commune le nomme délégué à la guerre, ce qui fait de lui le chef de toutes les armées communalistes et facilite son élection au Conseil de la Commune. Condamné à mort en 1871 par le tribunal militaire de Satory, Cluseret passe en Grande-Bretagne puis aux États-Unis pour revenir ensuite en Europe. Etabli en Suisse en 1872 non loin du peintre Gustave Courbet qui lui enseigne alors l’art de la peinture, il écrit dans des journaux britanniques avant de rejoindre les Balkans. La loi d’amnistie en juillet 1880 lui permet de rentrer en France. Cluseret consacre alors son temps à la peinture, au point de pouvoir en 1884 présenter dans une galerie de la rue Vivienne plus d’une centaine d’oeuvres. En 1888 il est élu député du Var sous l’étiquette socialiste révolutionnaire et ce jusqu’à sa mort en 1900. Avec Cluseret, c’est un des députés les plus anti-dreyfusard de France qui est alors envoyé à la chambre représenter le Var, offrant un syncrétisme étonnant de positions radicales – il est soutenu par les ouvriers des chantiers navals de La Seyne et prône la création d’une retraite pour les paysans indigents – et de nationalisme antisémite (il collabore à La Libre Parole de Drumont). Cluseret a écrit ses Mémoires.