Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !
" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"
Charles Maurras
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INTRO
Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.
mercredi 12 septembre 2012
Illustres tombes dans le 92-cimetière de l'ordre des sulpiciens
Cimetière de l’ordre des sulpiciens – Issy les Moulineaux
EMERY Jacques-André, Abbé (1732 – 1811)
Né en 1732, entré au séminaire de St Sulpice en 1750, Emery fit des études de théologie à la Sorbonne avant de devenir prêtre en 1756 et membre de l’ordre sulpicien en 1758. Élu neuvième supérieur général de l'ordre de Saint-Sulpice en 1782, il réforme le grand séminaire parisien dont les exigences spirituelles s'étaient imprégnées d'un caractère mondain sous l'effet de son recrutement nobiliaire.
Son attitude conciliante et modérée pendant la Révolution ne lui épargnent ni la dissolution de l'ordre de Saint-Sulpice ni la fermeture du séminaire de Paris en 1792, ni d'être incarcéré à deux reprises. La plus longue de ces détentions l'enferme durant seize mois à la Conciergerie lors de la Terreur, sous la menace permanente de la guillotine. A l’occasion de son emprisonnement à la Conciergerie, il favorisera le retour de Mgr Gobel dans le giron de l’Eglise.
Nommé secrètement grand vicaire par l’archevêque de Paris Mgr de Juigné -parti en émigration- Emery anime clandestinement l'église réfractaire à Paris de concert avec Mgr de La Tour-Landry. Puis il passera le restant de sa vie à tenter de restaurer l’ordre sulpicien.
Son autorité pédagogique lui vaut d'être nommé conseiller de l'Université en 1808 et son aura morale le fait désigner comme membre de la Commission ecclésiastique de l'Église de France en 1809. Il y manifeste sa loyauté envers le pape Pie VII dans la confrontation qui oppose ce dernier à Napoléon. Furieux de cette marque d'insoumission, qui devient publique lorsque le Sulpicien refuse de signer deux propositions de la Commission ecclésiastique concernant le Concordat, publiées en avril 1810 dans le Moniteur Universel, l'Empereur enjoint au vieux supérieur de quitter ses fonctions au séminaire au mois de juin suivant. Resté à Paris, Émery tombe malade quelque temps après. Il est mort à Paris le 28 avril 1811 et inhumé dans la maison de campagne de son ordre à Issy-les-Moulineaux.
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