Bienvenue à vous, nationalistes des Yvelines et d'ailleurs !

" La tradition rassemble les forces du sol et du sang"

Charles Maurras


spot 78

INTRO

Disparition de notre identité, perte de notre souveraineté, décadence morale, règne des lobbies et de la finance internationale, décomposition du tissu social, économie défaillante, criminalité, invasion, corruption, individualisme, matérialisme, haine de l’ordre naturel, mondialisme, etc.
L’agonie de notre pays et de notre civilisation se poursuit, alors que les événements confirment la validité de nos analyses et de nos principes.
Pire, la confusion doctrinale et stratégique règne chez les patriotes, les éloignant des véritables solutions – nationalistes – à nos problèmes.
Le RF mène d’abord un combat d’idées. Les idées mènent le monde et se sont des idées néfastes qui mènent la France à la ruine et au chaos.Dénonçant les erreurs citées plus haut, le RF entend convaincre le plus grand nombre de nos compatriotes du bien-fondé du réalisme politique, d’un sain nationalisme, de l’ordre social traditionnel et de la civilisation classique.
Il se donne pour objectif ultime de concourir à l’établissement d’un Etat digne de ce nom : un Etat nationaliste, social, chrétien.
Plus que jamais, la « droite nationale », comme notre pays, a besoin d’un Renouveau français fort et dynamique, apte à remplir au mieux ses missions : diffuser les bonnes analyses, offrir un engagement politique sain et efficace, former des militants et cadres politiques de valeur, constituer un réseau communautaire entre Français partageant la même vision du monde.

mardi 5 février 2013

Forts de sang.

C'est avec plaisir, que nous vous présenterons, par feuilleton, une étude sur les patriotes fusillés suite aux douloureux épisodes de la seconde guerre mondiale et de la guerre d'Algérie. Ce travail, réalisé par un de nos amis, n' a pas un but apologétique, mais permettra à beaucoup de découvrir des faits généralement occultés.

FORTS DE SANG


_________________________________________

 

De la 2è guerre mondiale à la guerre d’Algérie, bon nombre de grands patriotes français, ayant pour certains rendu d’éminents services à la France dans des domaines aussi différents que l’art, la politique ou la défense nationale, ont été emprisonnés et exécutés par des régimes de haine.

Certains, entre 1939 et 1945, s’étaient engagés avec espoir et conviction dans le mouvement de la renaissance française prôné par le Maréchal Pétain et le nouvel Etat Français, renaissance s’appuyant sur le long héritage de notre pays, le retour à la terre et les valeurs patriotiques et spirituelles. Pourtant, la guerre finie, ils ont été assassinés impitoyablement, couchés par des balles françaises après des procès bâclés.

Pendant que le pays rendait justement hommage à des résistants –souvent ni gaullistes ni communistes- morts pour avoir choisi de résister militairement à l’occupant plutôt que politiquement comme l’Etat Français, ceux qui avaient suivi avec honneur l’homme le plus admiré des français, le vainqueur de Verdun, le chef qui ne ment pas, étaient non seulement assassinés mais voués à la haine publique, à la honte nationale et à l’enterrement dans les oubliettes d’une Histoire qu’on efface.

D’autres, pendant les évènements d’Algérie, avaient dignement pris la voie de l’honneur, de la parole donnée, de la grandeur française. Eux aussi, alors qu’ils s’étaient sacrifiés pour ce noble combat, ont été exécutés par un régime de lâches et désignés dans l’opinion comme de dangereux séditieux et des ennemis à abattre. Eux aussi ont été inscrits dans le marbre de la 5è République naissante comme une tâche désagréable et méprisable qu’on doit oublier.

Sur la terre d’Ile de France, dans des forts de sang, ces hommes sont fièrement tombés pour la patrie … celle-ci ne les oubliera pas, elle leur rendra le juste hommage qui leur est dû.

 

Seigneur, voici couler le sang de notre race,


Sang du combat guerrier, sang des guerres civiles,

Sang des foyers noircis que quelque flamme efface,

Sang de ceux qu’on fusille aux fossés de nos villes

(…)

Seigneur, voici couler le sang de nos garçons,

Il a tout recouvert la patrie déchirée.

Quand verrons-nous jaillir, ô tardive saison,

De tout ce sang versé la moisson désirée

[Robert Brasillach, Poèmes de Fresnes]

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire